Acteuret réalisateur français. 13-04-1927, à Nice dans les Alpes-Maritimes en France. 14-03-1983, à Paris en France. Maurice Julien Marie Robinet. Marié en 1950 avec l'actrice : MARIA PACOME - divorcé en 1956. (Fille de Chaplin) - jusqu'au décès de Maurice en 1983. Ils eurent un fils : Julien, né le 16 octobre 1980.
L’énigme limpide d’un moqueur majeur. À Jacqueline Waechter Je me souviens de Maurice Ronet, pas vous ? Je me souviens de son visage, de sa voix, de ses films de cinéma. Je me souviens de lui à l’instar des seventies qui ne cessent de revenir. À défaut de rédiger une biographie, entreprise fastidieuse, souvent stérile, même si j’apprécie les travaux de Donald Spoto, portraitiste inspiré, polémique, d’Alfred Hitchcock & Marilyn Monroe, faisons les comptes, en bon littéraire la filmographie s’étend sur une trentaine d’années, de 1949 à 1983. Elle comprend une petite centaine de titres pour le grand écran, une douzaine pour la TV + sept opus en tant que réalisateur. Peintre, céramiste, étudiant en philosophie, en physique, comédien, musicien, essayiste réflexif, documentariste exotique et accessoirement mari de Maria Pacôme puis Josephine Chaplin, Maurice Ronet ne perdit pas de temps, comme s’il savait le sien davantage compté que celui d’autrui. On le disait dilettante et dandy, mais il sembla se foutre du tourisme, il travailla jusqu’au bout, tant mieux pour nous et tant pis pour le cancer du poumon qui l’emporta. Résumer en deux feuillets cinquante-cinq ans d’une vie de et au-delà du cinéma ? Je ne le tenterai pas, je préfère énumérer quelques repères, les parents sur scène, la formation au Conservatoire, les rencontres cruciales avec Jean-Louis Barrault & Jacques Becker, Louis Malle & Claude Chabrol. La carte de sa carrière cosmopolite inclut la France, l’Espagne, l’Italie, les États-Unis, l’Angleterre, l’Allemagne et l’on pense alors à Rainer Werner Fassbinder, autre bosseur stakhanoviste issu des planches, pétri de penchants autodestructeurs. Le corps de Ronet, avant d’être croqué par le Crabe, séduit et dérange, inadéquation dynamique de traits avenants, souriants, assortis d’une mélancolie, d’une tristesse, à peine dissimulées. Le corpus de ses interprétations-réalisations duplique et conserve ces apparences. La figure féconde d’Edgar Allan Poe y fait retour, adaptations personnelles ou signées Alexandre Astruc, papa du précieux Le Puits et le Pendule 1964 et Federico Fellini, Malle, Roger Vadim, cf. la narration de Histoires extraordinaires 1968. La littérature en constitue, disons, l’armature discrète, secrète, de Patricia Highsmith Plein soleil, René Clément, 1960 à Herman Melville Bartleby, Ronet, 1976, en passant par Pierre Drieu la Rochelle Le Feu follet, Malle, 1963 et Michel Butor La Modification, Michel Worms, 1970. Ronet rata Lawrence d’Arabie David Lean, 1962, amitiés d’outre-tombe à Omar, s’intéressa aux créatures de Komodo et au Voleur de Tibidabo 1964, en compagnie musicale d’Anna Karina. Il tourna, par ordre chronologique, pour Yves Allégret, Bernard Borderie, Carmine Gallone, Jules Dassin, Lewis Gilbert, Henri Decoin, Claude Autant-Lara, Marcel Carné, Mark Robson, Romain Gary, Jacques Deray, Robert Enrico, Michel Deville, Sergio Sollima, Sergio Gobbi, Patrick Jamain, Robert Parrish, Terence Young, Serge Moati, Just Jaeckin, Georges Lautner, Franklin J. Schaffner, Bertand Blier et Bob Swaim, Pierre Grimblat & Claude Barma, liste non exhaustive, très subjective. Il connut l’honneur rarissime d’être deux fois assassiné par un certain Alain Delon, vrai-faux sosie qui s’en débarrasse de manière doublement humide selon Plein soleil et La Piscine Deray, 1969. Entre-temps, AD se réinventa en William Wilson, personnage poesque déjà perturbé par son doppelgänger ; plus tard, il relira Arthur Schnitzler à l’occasion du Retour de Casanova Édouard Niermans, 1992, en quelque sorte son Raphaël ou le Débauché Deville, 1971 à lui. Cela ne suffit pas et le délicat, ou sournois, Michel Bouquet, policé, cocufié, noie de surcroît son cadavre à la mode Psychose Hitchcock, 1960 pour La Femme infidèle Chabrol, 1969. Ces morts maritimes à répétition durent amuser le suicidaire du Feu follet, par ailleurs proche, on l’espère pas trop, de la mémoire d’un Robert Brasillach, cinéphile estimable et antisémite notoire. Ce type d’amitiés, même posthumes, ne paraît point recommandables à notre modernité, période de transparence politiquement correcte, abjecte, dont Maurice Ronet, ni héros, ni salaud, se gausserait sans doute le premier. On se doit, à chaque fois que l’on esquisse quelqu’un, a fortiori un acteur, d’évaluer l’œuvre, pas l’individu, d’observer la diversité, d’évacuer le CV, ou sinon, on recommet l’erreur de Sainte-Beuve au sujet de Baudelaire, dénoncée par Proust, reprise par tous les maudits psys, piqués de ciné ou pas – réduire un artiste à son pedigree, à sa moralité, à son environnement. Le clair mystère de Maurice Ronet, que je ne connais pas, que je reconnais, charme au miroir fantomatique, possède sa propre vérité démultipliée, toujours unique et jamais identique. Son art participe à la fois de la présence et de l’absence, de l’intense et de la distance. Nul hasard s’il décida de formuler ses réflexions sur sa profession au long du Métier de comédien, paru en 1977, en écho à domicile au fameux Paradoxe sur le comédien de Diderot, écrit en 1777, qu’importe le fossé du tandem de siècles. Ronet ou le retrait exposé, ou le rire coloré par les larmes, homme-image qui attire, inquiète, s’impose et se dérobe. La dichotomie intime se retrouve au cours des acmés de Plein soleil, homoérotisme en sus, du Feu follet, isolement existentialiste en bonus, de La Femme infidèle, vaudeville bouleversant, de La Piscine, à l’hédonisme sudiste, à la Romy Schneider solaire, de Raphaël ou le Débauché, matrice apocryphe des Liaisons dangereuses de Stephen Frears 1988 et non du Valmont de Miloš Forman 1989, métrage en retard, à la médiocre réputation, auquel j’emprunte pourtant le titre de mon article. Du cynisme au sentimentalisme, il n’existe qu’un élan ou un plan, et le né Robinet sut laisser couler l’instant, les affluents contradictoires, complémentaires. Il aima Bach et Anouk Aimée, l’Algérie française et les amours commercialisées. Il me reste certes beaucoup à découvrir de son parcours sur pellicule, vaste et variable, néanmoins, si je devais inviter le lecteur, la lectrice, à sa redécouverte, je les renverrais vers Le Puits et le Pendule, parce que le chef-d’œuvre de poche d’Astruc, encore méconnu, cristallise peut-être au mieux la dialectique de l’intéressé, de ses semblables. Ici, Maurice Ronet se divise, il lit un récit et incarne de tout son corps, body language muet, éloquent, les tourments de l’Inquisition. Voici un rôle suprême et un acteur au sommet, voilà un survival horrifique et ironique, une évocation circonstanciée, distanciée. Au présent, le prisonnier éprouve la double peine ; au passé, il retraverse l’enfer enfin affranchi. Le cinéma, immanence et transcendance, se décrit, se métaphorise, convoque les vertus de l’audiovisuel, ses puissances de représentation et de son. L’élégance, la résistance, la solitude, la vitesse de la persona épousent celles de la personnalité supposée, s’harmonisent et s’immortalisent. Il faut louer le directeur de la photographie Nicolas Hayer, le compositeur Antoine Duhamel, le regard d’Alexandre Astruc. Il faut surtout célébrer le talent matérialiste et intériorisé de Maurice Ronet, condamné à mort en rime à chacun d’entre nous, qui se bat, ne se résigne pas, qui touche le fond de l’orifice et remonte à la surface du vice. En une demi-heure, Ronet ridiculise les psychodrames de l’Actors Studio et reprend à son compte, en huis clos, les enseignements physiques de À bout de souffle Jean-Luc Godard, 1960. Grâce à ces trente minutes tendues, épuisantes et stimulantes, grâce aux cinq items précités, Maurice Ronet continue à briller, à brûler, dans mes réminiscences, en feu de joie désespérée, non en molle luciole. Il repose depuis trente-cinq ans au sein du Luberon, borie rafraîchie à proximité de sa propre piaule à Bonnieux, coin connu de votre serviteur provençal. Son intelligence, son indépendance, sa prestance, reposent du bruit, de la bêtise et de la vulgarité généralisés, pas seulement, hélas, au ciné. Contrairement à lui, je n’éprouve aucune nostalgie, pas même celle des occasions manquées, des mythologies moribondes. Ceci ne saurait m’empêcher de partager son frémissement et sa foi, tout sauf religieuse, obséquieuse, je crois en moi, je crois en toi, je crois en trois ou quatre choses qui m’épargnent le point final du pistolet, olé, de le saluer avec une modestie impressionniste, en clin d’œil à une admiratrice de dédicace. Se souvenir de ce spectre alerte, davantage que sadien, que touche-à-tout bon à rien, revient à revisiter une partie du cinéma français, européen, à saisir le spleen des jeunes majeurs de la Libération, atteints d’un désenchantement sensuel à la Roger Nimier, d’ailleurs co-scénariste de Ascenseur pour l’échafaud Malle, 1958, de nausée sartrienne, amen, à priser un jeu audacieux, précis, polysémique, avec la caméra et par-delà. Je me souviens de Maurice Ronet, vous vous en souviendrez à votre tour, quitte à en tomber en amour.

FrançoisPacôme Maria Pacôme/Fils Elle a un fils avec le comédien Serge Bourrier, François Pacôme, né le , qui devient également acteur puis se spécialise dans le doublage.

François PacômeÉcoutez sa voix sur RS Doublage François Pacôme est un acteur français, né le 26 mai 1965 à Neuilly sur Seine, [1] pratiquant également le doublage. Il est le fils de Maria Pacôme et du comédien Serge Bourrier. Filmographie[] 1989 La Compagnie de Sarah François 1989 les Seins de Lola François 1996 Les Vacances de l'amour - épisode L'enfant TV séries 1997 Sous le soleil Costa 1 épisode 1997 Un homme en colère Johnny 1 épisode 1998 Ça commence à bien faire ! Antoine Voxographie[] Cette partie est incomplète. Si vous en savez plus, n'hésitez pas à la compléter. 2001 L'Enfer du Paradis Yoichi Egawa[1] Télévision[] 1993-2004 Frasier Bob Briscoe Dan Butler 1996-1998 Les Piègeurs Ted Donachie Robert Wilcox 1996-1999 Viper Sherman Catlett J. Downing 1996-2001 Brigade des mers Tommy Tavita Jay Laga'aia 1998 Oz Jonathan Coushaine Bryan Callen 1998-2000 L'Équipe de rêve Luis Amor Rodriguez Martin Crewes 1998-2006 Sept à la maison Carlos Rivera Carlos Ponce 1999-2000 Friends Gary Michael Rapaport saison 5 et Kyle David Sutcliffe saison 7 1999 Power Rangers L'Autre Galaxie Damon Henderson Reggie Rolle 1999-2000 Freaks and Geeks Jeff Rosso Dave Allen 1999-2001 Jack and Jill Eddie Naiman Gary Marks 2000-2001 Stargate SG-1 Darien Matthew Harrison saison 4, épisode 21 Répliques 2000-2005 Street Legal David Silesi Jay Laga'aia 2001-2002 Les Destins du Cœur Michele Massa Giorgio Borghetti 2001 Barbie Casse-noisette Souris 2002 Boomtown Sean Dornan Rick Ravanello 2002 FBI Portés disparus Bartholomew Higins Bradford Tatum 2002 Olive et Tom Le Retour Roberto Cedinho, Elcide Pierre et Juan Diaz 2003-2004 Moi et ma belle-famille Tom Wagner Breckin Meyer 2003-2006 Stargate SG-1 Officier du Prométhée Craig Veroni saison 7, épisode 13 Le Voyageur intérieur / Sergent Technicien Jason Emanuel saison 8, épisode 11 Vulnérable / major Bryce Ferguson Reed Diamond saison 9, épisode 14 Prise de contrôle 2004 Nip/Tuck Chad Myers Chris Diamantopoulos 2005-2007 Battlestar Galactica Aaron Kelly Ty Olsson 2006 Monk Peter Breen Jamie Kaler saison 5, épisode 4 Monk à tâtons 2005-2014 How I Met Your Mother Barney Stinson Neil Patrick Harris 2017 Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire Comte Olaf Neil Patrick Harris pour les chansons uniquement Notes et références[] ↑ Animeka Liens externes[] François Pacôme sur IMDb Voxographie détaillée de François Pacôme sur RS-Doublage RSD Voxographie partielle de François Pacôme sur Doublagissimo Voxographie sélective de François Pacôme séries sur Doublage Séries Database
MauriceRonet n'est jamais satisfait, jamais rassasié, il joue de l'orgue sans connaître une note de solfège, ne jure que par Melville dont il finira par adapter le sublime roman " Bartleby La filmographie d'un acteur, son parcours, sa carrière, coïncident le plus souvent avec l'histoire de son corps, de son visage, de sa voix. Comment évoquer la carrière de John Wayne, par exemple, sans décrire le mûrissement mélancolique de l'expression et le gain en tranquille autorité de la silhouette ? Le corps de... Lire la suite du texte "L'admirable visage froissé de Maurice Ronet", écrit par Jean-Christophe Ferrari MauriceRonet, Actor: Le feu follet. Maurice Ronet was born on April 13, 1927 in Nice, Alpes-Maritimes, France. He was an actor and writer, known for The Fire Within (1963), Elevator to the Gallows (1958) and Purple
MARIA PACOME Maria Pacôme, née Simone Pacôme 18 juillet 1923, Paris – 1er décembre 2018, est une comédienne et dramaturgefrançaise. Sommaire 1Biographie 2Comédienne théâtre ce soir 3Auteur de théâtre 4Distinctions 5Publication 6Notes et références 7Voir aussi connexes externes Biographie[modifier modifier le code] Simone Pacôme naît le 18 juillet 19231 et passe une partie de son adolescence en tant que vendeuse dans un magasin de chaussures. À l’âge de 18 ans, elle entre au cours Simon, où elle est condisciple de Michèle Morgan qui est déjà une actrice connue, et de Danièle Delorme. Elle rencontre un peu plus tard l’acteur Maurice Ronet, qu’elle épouse en 19502. Leur fils François Pacôme né en 1965 deviendra également comédien. Souhaitant laisser un complet épanouissement à la carrière de son mari sans lui faire de l’ombre, elle renonce à la scène, décidée à ne faire que de la poterie. Elle pratique ensuite la peinture, qui est aussi une de ses passions. Elle divorce de Maurice Ronet six ans après son mariage2. Cependant, son attrait pour le métier de comédienne ne s’est pas émoussé, elle désire remonter sur les planches. En 1958, sa carrière commence avec Oscar de Claude Magnier, aux côtés de Pierre Mondy et Jean-Paul Belmondo3. Citons également N’écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry en 1962, Les Grosses Têtes de Jean Poiret et Michel Serrault en 1969, Joyeuses Pâques de Jean Poiret en 1981. Elle devient une des Reines du théâtre de boulevard et participe souvent à l’émission de télévision Au théâtre ce soir. Parce qu’elle en a assez de n’être qu’une bourgeoise exubérante dans ses rôles, elle décide d’écrire pour le théâtre des comédies qu’elle interprète, dont la première d’une série de sept a été Apprends-moi Céline en 1977, jusqu’à son spectacle seule en scène L’Éloge de ma paresse en 2002, en passant par On m’appelle Émilie et Les Seins de Lola. Sa première apparition à l’écran se fait, en 1959, dans le film Voulez-vous danser avec moi ? de Michel Boisrond. Elle interprète ensuite beaucoup de seconds rôles comiques au cinéma, comme dans Le Gendarme de Saint-Tropez, Les Tribulations d’un Chinois en Chine, Le Distrait. Elle sera néanmoins tête d’affiche au cinéma dans Les Sous-doués ou La Crise. À la télévision, elle joue dans la série Docteur Sylvestre. Maria Pacôme a publié ses mémoires en 2007 et en 2011prête sa voix à la mémé de Titeuf dans l’adaptation de la bande dessinée sur grand écran. Maria Pacôme meurt le samedi 1er décembre 2018 des suites d’une longue maladie4,5. Comédienne[modifier modifier le code] Cinéma[modifier modifier le code] 1959 Voulez-vous danser avec moi ? de Michel Boisrond Clémence 1960 Les Jeux de l’amour de Philippe de Broca Une cliente 1961 Le Tracassin de Alex Joffé Mme Gonzalès 1962 Un clair de lune à Maubeuge de Jean Chérasse la journaliste 1962 Que personne ne sorte de Ivan Govar Pauline 1963 Constance aux enfers de François Villiers Marie-Cécile 1964 Le Gendarme de Saint-Tropez de Jean Girault Mme Lareine Leroy 1964 Un drôle de caïd de Jacques Poitrenaud Tante Emma 1964 Les Gorilles de Jean Girault Josépha Dépelouze 1965 Les Tribulations d’un Chinois en Chine de Philippe de Broca Suzy Ponchabert 1966 Les Combinards de Riccardo Pazzaglia Lucienne 1966 Tendre Voyou de Jean Becker Germaine 1968 Un drôle de colonel de Jean Girault Aurélia 1969 La Maison de campagne de Jean Girault Véronique 1970 Le Distrait de Pierre Richard Glycia Malaquet 1974 Bons baisers… à lundi de Michel Audiard Myrette 1975 Pas de problème! de Georges Lautner Mme Michalon 1976 La Situation est grave… mais pas désespérée de Jacques Besnard Vicomtesse Sophie de Valrude 1976 Silence… on tourne de Roger Coggio la mère d’Elisabeth 1977 Le Dernier baiser de Dolorès Grassian l’inconnue 1980 Les Sous-doués de Claude Zidi Lucie Jumaucourt 1992 La Crise de Coline Serreau mère de Victor 1996 Le Bel été 1914 de Christian de Chalonge Maria 1997 Une femme très très très amoureuse de Ariel Zeitoun Emma 2003 Mauvais esprit de Patrick Alessandrin Belle-maman 2011 Titeuf, le film de Zep La mémé de Titeuf voix 2012 Arrête de pleurer Pénélope de Corinne Puget et Juliette Arnaud Lise Télévision[modifier modifier le code] 1962 Le Monsieur de 5 heures d’André Pergament Mme Précardant 1966 Sacrés Fantômes de Stellio Lorenzi 1966 Si Perrault m’était conté de Jean Bacqué 1968 Les Dossiers de l’Agence O de Marc Simenon, épisode l’Étrangleur de Montigny 1970 Les Enquêteurs associés de Gilles Grangier, Serge Korber et Jean Salvy, série TV, 13 épisodes Comtesse Olga de Charance 1982 Emmenez-moi au théâtre Apprends-moi Céline Céline 1986 Le Cadeau de Sébastien de Franck Apprederis Madeleine 1989 Les Seins de Lola de Pierre Badel Lola 1989 La Compagnie de Sarah de Stéphane Loison Sarah 1994 Adieu les roses de Philippe Venault Hortense 1995 Comment épouser un héritage? de Patrice Ambard Lulu Dorval 1995–1998 Docteur Sylvestre série TV, 14 épisodes Mlle Raynal 1998 Ça commence à bien faire! de Patrick Volson Janine 2001 Un couple modèle de Charlotte Brandström Maryse 2003 Une villa pour deux de Charlotte Brandström Marion 2005 Cyrano de Ménilmontant de Marc Angelo Andréa Morin 2005 Vénus et Apollon série TV, 1 épisode 2006 Les Secrets du volcan de Michaëla Watteaux Hortense Bertin 2012 Emma de Alain Tasma Eléonore Au théâtre ce soir[modifier modifier le code] 1966 Interdit au public de Roger Dornès et Jean Marsan, mise en scène Jean Le Poulain, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny Gabrielle Tristan 1969 Les Enfants d’Édouard de Marc-Gilbert Sauvajon d’après Frederick J. Jackson et Roland Bottomley, mise en scène Jean-Paul Cisife, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny Denise 1971 De doux dingues de Joseph Carole, mise en scène Jean Le Poulain, réalisation Georges Folgoas, théâtre Marigny Sophie 1972 Le Don d’Adèle de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, mise en scène Jean Le Poulain, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny Edmée 1974 L’Amant de madame Vidal de Georges Berr et Louis Verneuil, mise en scène Michel Roux, réalisation Georges Folgoas, théâtre Marigny Catherine Vidal 1975 Le noir te va si bien de Jean Marsan d’après Saul O’Hara, mise en scène Jean Le Poulain, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Édouard VII Lucie 1977 Appelez-moi maître de Renée et Gabriel Arout, mise en scène Georges Vitaly, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny Tamara Théâtre[modifier modifier le code] 1956 La Reine et les insurgés d’Ugo Betti, mise en scène Michel Vitold, avec Edwige Feuillère, Michel Vitold, Laurent Terzieff, Maurice Pialat, théâtre de la Renaissance 1958 Oscar de Claude Magnier, mise en scène Jacques Mauclair, avec Pierre Mondy, Jean-Paul Belmondo, Mario David, théâtre de l’Athénée 1959 Oscar de Claude Magnier, mise en scène Jacques Mauclair, tournée Karsenty, théâtre des Célestins 1960 De doux dingues de Michel André, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre Édouard VII 1960 Le Signe de kikota de Roger Ferdinand, mise en scène Fernand Gravey, théâtre des Nouveautés 1961 Coralie et Compagnie de Maurice Hennequin et Albin Valabrègue, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre Sarah Bernhardt 1962 N’écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry, mise en scène Jacques Mauclair, théâtre de la Madeleine 1963 Léon ou La Bonne Formule de Claude Magnier, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre de l’Ambigu-Comique 1964 Quand épousez-vous ma femme de Jean Bernard-Luc et Jean-Pierre Conty, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre du Vaudeville 1967 Interdit au public de Jean Marsan, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre Saint-Georges 1969 Les Grosses Têtes de Jean Poiret et Michel Serrault, mise en scène Jean Poiret et René Dupuy, théâtre de l’Athénée 1970 Les Enfants d’Édouard de Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jean-Paul Cisife, théâtre des Bouffes-Parisiens 1971 Madame Jonas dans la baleine de René Barjavel, mise en scène Jacques Charon, théâtre des Bouffes-Parisiens 1971 Oscar de Claude Magnier, mise en scène Pierre Mondy, avec Louis de Funès, Gérard Lartigau, Mario David, théâtre du Palais-Royal 1972 Oscar de Claude Magnier, mise en scène Pierre Mondy, avec Louis de Funès, Gérard Lartigau, Mario David, théâtre du Palais-Royal 1972 Le noir te va si bien de Saul O’Hara, adaptation Jean Marsan, mise en scène Jean Le Poulain, avec Jean Le Poulain, Odette Laure, théâtre Antoine 1977 Apprends-moi Céline de Maria Pacôme, mise en scène Gérard Vergez, avec Daniel Auteuil, Gérard Chambre, théâtre des Nouveautés 1981 Le Jardin d’Eponine de Maria Pacôme, mise en scène Gérard Vergez, avec Michel Robbe, Madeleine Barbulée, Comédie des Champs-Élysées 1981 Joyeuses Pâques de Jean Poiret, mise en scène Pierre Mondy, théâtre du Palais-Royal, théâtre de la Michodière 1983 Joyeuses Pâques de Jean Poiret, mise en scène Pierre Mondy, théâtre Édouard VII 1984 On m’appelle Émilie de Maria Pacôme, mise en scène Jean-Luc Moreau, avec Patrick Bruel, Odette Laure, théâtre Saint-Georges 1987 Les Seins de Lola de Maria Pacôme, mise en scène Jean-Luc Moreau, avec François Perrot, Stéphane Hillel, théâtre Saint-Georges 1989 Pâquerette de Claude Magnier, mise en scène Francis Perrin, théâtre de la Michodière 1990 Et moi et moi de Maria Pacôme, mise en scène Jean-Luc Moreau, avec Marie-France Mignal, François Pacôme, théâtre Saint-Georges 1993 Les Désarrois de Gilda Rumeur de Maria Pacôme, mise en scène Jean-Luc Moreau, avec Michel Creton, théâtre Saint-Georges 1997 Une mesure d’avance d’Anne-Marie Étienne, mise en scène Adrian Brine, théâtre Saint-Georges 2002 L’Éloge de ma paresse de Maria Pacôme, mise en scène Agnès Boury, théâtre Montparnasse 2003 L’Éloge de ma paresse de Maria Pacôme, mise en scène Agnès Boury, théâtre de la Gaîté-Montparnasse 2004 L’Éloge de ma paresse de Maria Pacôme, mise en scène Agnès Boury, théâtre de la Michodière 2008 La Maison du lac d’Ernest Thompson, mise en scène Stéphane Hillel, avec Jean Piat, Béatrice Agenin, théâtre de Paris, en remplacement de Danielle Darrieux qui ne peut assurer son rôle après un accident. 2009 La Maison du lac d’Ernest Thompson, mise en scène Stéphane Hillel, avec Jean Piat, théâtre de Paris Auteur de théâtre[modifier modifier le code] 1977 Apprends-moi Céline 1981 Le jardin d’Éponine 1985 On m’appelle Émilie6 1987 Les Seins de Lola 1990 Et moi et moi 1993 Les Désarrois de Gilda Rumeur7 2002 L’Éloge de ma paresse Distinctions[modifier modifier le code] Nominations[modifier modifier le code] 1993 Nomination au César de la meilleure actrice dans un second rôle pour La Crise. 2003 Nomination au Molière du one man show pour L’Éloge de ma paresse Publication[modifier modifier le code] 2007 Maria sans Pacôme, Le Cherche Midi. Notes et références[modifier modifier le code] ↑ Notice de personne – Maria Pacôme » [archive], sur Bibliothèque nationale de France ↑ a et b Marie-Laure Delorme, Maurice Ronet, une hésitation devant la vie », Le Journal du dimanche,‎ 21 octobre 2013 lire en ligne [archive] ↑ Marion Thebaud, Maria Pacôme, actrice auteur en liberté », Le Figaro,‎ 13 décembre 2002, p. 29 ↑ La comédienne Maria Pacôme est morte à l’âge de 94 ans » [archive], sur France Info, 1er décembre 2018 consulté le1er décembre 2018 ↑ La comédienne Maria Pacôme, qui a joué dans La Crise » et Les Sous-Doués », est morte », Le Monde,‎ 1er décembre 2018 lire en ligne [archive] ↑ Actes Sud-Papiers, 1986 ISBN 978-2-86943-024-2. ↑ L’avant-scène théâtre, no 939, 1993 ISBN 2-7498-0363-2. Voir aussi[modifier modifier le code] Articles connexes[modifier modifier le code] Théâtre de boulevard Cinéma français Liens externes[modifier modifier le code] Notices d’autorité Fichier d’autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France données • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • Bibliothèque royale des Pays-Bas • WorldCat en Maria Pacôme [archive] sur l’Internet Movie Database Vous pourriez aussi aimer...
Biographie Maria Pacôme (Simone Maria Pacôme) est née le 18 juillet 1923 à Paris. Vendeuse dans un magasin de chaussures lors de son adolescence, elle rentre au cours Simon à ses 18 ans
12h31 , le 21 octobre 2013 , modifié à 13h43 , le 19 juin 2017 Derrière, le mont Ventoux. Sa tombe repose dans le cimetière de Bonnieux, dans le Vaucluse. Elle a la forme d'une petite cabane en pierres sèches. Dessus, comme inscription, son nom. Maurice Ronet ou l'élégance de la simplicité. Il payait pour tous, parlait bien à tous. Ceux qui l'ont connu louent son intelligence et sa gentillesse. Elles réussissaient à se frayer un chemin à travers une désespérance énigmatique. Silences et solitude. Le journaliste José-Alain Fralon ne contourne pas les blancs, dans une biographie consacrée à l'acteur du Feu follet. La jeune Betty Desouches a eu une liaison de près de dix ans avec Maurice Ronet. Elle est entrée un jour dans sa chambre et l'a trouvé, assis sur son lit, un revolver sur la tempe. Ils n'en ont jamais parlé. Qui était-il vraiment? Sa beauté a souvent fait écran à sa noirceur; son alcoolisme a parfois réveillé sa violence. Le mystérieux Maurice Ronet a tenu le rôle d'un dandy cynique dans Raphaël ou le Débauché 1971, de Michel Deville. Aurore de Chéroy Françoise Fabian demande à une de ses nièces pourquoi elle plaint Raphaël de Lorris Maurice Ronet et ses amis dépravés. Elle répond "Parce qu'ils font semblant de ne pas être tristes."Il se rêve peintre ou écrivainIl ne parlait jamais de son enfance. Maurice Ronet est né en 1927 à Nice. Il est fils parents sont comédiens. Il se présente, partout où il passe, comme un garçon solitaire. Il aime, avant tout, lire. Sa passion pour Edgar Poe et Herman Melville ne se démentira pas avec les années. Moby Dick est son roman préféré. Il se rêve peintre ou écrivain. Surtout pas de cinéma. Il récite des passages entiers d'Au-dessous du volcan, de Malcolm Lowry, et aime écouter la musique de Bach. Il est un bon musicien, jouant du piano et de l'orgue. Le jeune homme entre finalement au Centre du spectacle de la rue Blanche où il suit des cours d'art dramatique. Maurice Ronet sera toute sa vie un grand acteur ne considérant pas le métier d'acteur et un homme à femmes plaçant l'amitié au-dessus de l'amour. Sa beauté stupéfie 1,80 m, un regard bleu, des dents blanches. Mais ce n'est pas de ça qu'il s'agit. Un charme douloureux donne à son physique de play-boy une singularité d'amour avec Anouk AiméeMaurice Ronet épouse Maria Pacôme en 1950. Ils divorcent six ans plus tard. Il accède à la notoriété avec Rendez-vous de juillet 1949, de Jacques Becker, puis avec La Sorcière 1956, d'André Michel. Il dépense sans compter pour lui et les autres. "Tu sais bien, je ne prête pas, je donne." Il multiplie les conquêtes féminines, mais ne s'en vante jamais. Il vivra une histoire d'amour avec Anouk Aimée. Maurice Ronet entre dans la légende du cinéma avec Ascenseur pour l'échafaud 1958 et Le Feu follet 1963, de Louis Malle. L'acteur Mathieu Amalric admire son jeu depuis l'âge de 15 ans. Ils appartiennent à la même famille de comédiens. Ils disent le texte et le sous-texte. Maurice Ronet tourne Plein Soleil 1960, de René Clément, avec Alain Delon. Leur partenaire Marie Laforêt soulignera, à sa manière, son peu de goût pour les deux hommes "Deux trous du cul !" Maurice Ronet retrouvera Alain Delon dans La Piscine 1969, de Jacques est à droite. Il soutient les partisans de l'Algérie française et fait partie de l'Association des amis de Robert Brasillach. L'homme aime le luxe. Les belles voitures et les grands vins. Il porte une eau de toilette de bois de cèdre. Le journaliste José-Alain Fralon a recueilli de nombreux témoignages originaux. Natacha Michel "On sentait chez lui une profonde mélancolie, une grande réserve de noirceur." Pascal Thomas "Trois sujets dominaient nos conversations la bouffe, les femmes, les livres." Françoise Fabian "Profondément mystérieux, secret, pudique." Jean Douchet "Ce qui frappait tout de suite, c'était son intelligence." Brigitte Auber "Mon Dieu, qu'il était beau! Avec toujours un fond de tristesse. On sentait chez lui, comment dire? une carence d'énergie, une sorte de désabusement, une difficulté à prendre les choses en main. C'est complexe, ce genre d'état d'esprit. Comme si on manquait d'une certaine molécule. Ou, encore plus complexe, une hésitation devant la vie." Anny Duperey "Du point de vue privé, c'était un homme d'un secret total. Totalement opaque."La rumeur du suicideLes uns et les autres ragotent sur son homosexualité. Les hommes ne l'ont pourtant jamais attiré. Son entourage se casse simplement les dents sur son extrême réserve. On ne le comprend pas et ça lui va. Alexandra Stewart fait une fine comparaison entre Brigitte Bardot et Maurice Ronet. Ils ont en commun une sauvagerie non feinte. Ils sont capables de se foutre de tout et de tous. Les femmes de sa vie ont affaire à un homme soudainement agressif sous l'emprise de la boisson. Maurice Ronet ne cessera d'échapper à son mal-être par les livres et l'alcool. Il boit jusqu'à s'effondrer, fréquente les prostituées, tourne dans de mauvais films. Nina Companeez le ramène ivre mort de chez Castel. Il se détruit, avec manières de seigneur, ses manières de destructeur. Maurice Ronet cherche autre chose. Il commence sa carrière de réalisateur avec Le Voleur du Tibidabo 1964 et tourne un documentaire intitulé Vers l'île des dragons 1973 sur une île de l'océan Indien. Il adapte pour la télévision en 1976, grâce à Marcel Julian, Bartleby, de Herman Melville. Un succès public et critique. Il aura un fils unique, Julien, de Joséphine Chaplin. Il tombe malade. Beaucoup de ses amis l'abandonnent dans l'épreuve. Maurice Ronet se réfugie jusqu'au bout dans sa maison secondaire du Luberon. Il est donc enterré au cimetière de Bonnieux. La légende veut qu'il se soit suicidé. Il a été emporté, à 55 ans, par un cancer du poumon. "Tout chez Maurice était référence littéraire. Il voulait écrire. Mais il a été empêché d'écriture par la vénération qu'il portait aux écrivains" Pascal Thomas. Le héros de Pierre Drieu la Rochelle dans Le Feu follet avoue "Je n'ai pas très envie de rentrer dans la vie." Maurice Ronet y est entré sur la pointe des pieds et en est reparti de la même façon. Entre, la fuite. Il a fait semblant de ne pas être Ronet, le splendide désenchanté, José-Alain Fralon, Équateurs, 290 p., 20 JDD papier
Togglenavigation. magasin alimentaire africain toulouse. michel fourniret enfance; de quoi est mort maurice ronet Vous avez 1 article à lire TOURNAGE DIFFICILE . En 1959, sur le tournage de Plein soleil, le film de René Clément, Maurice Ronet et Delon la snobaient. - Mis à jour le dimanche 3 novembre 2019 à 19h43 00173043_000002 Des infos à partager ?Si vous connaissez un site qui parle de Maria Pacôme et susceptible d'apporter des informations complémentaires à cette page, vous pouvez dimanche 3 novembre 2019 à 18h44 À la fin des années 1970, parce qu'elle en a assez de n'être qu'une bourgeoise exubérante dans ses rôles, elle décide d'écrire pour le théâtre des comédies qu'elle interprète. De son vrai nom Cependant, son attrait pour le métier de comédienne ne s'est pas émoussé, elle désire remonter sur les planches. Elle interprète ensuite beaucoup de seconds rôles comiques au cinéma, comme dans Le Gendarme de Saint-Tropez, Les Tribulations d'un Chinois en Chine, Le Distrait. SIPA. Des remarques ? Son fils François Pâcome est également comédien. Pas facile de le cerner. Femme de caractère, monument du grand écran et de la chanson, Marie la Forêt est morte ce samedi 2 novembre. Une première expérience aux côtés des jeunes acteurs très en vue du cinéma français à laquelle elle ne s’attendait pas. Et Romy Schneider se moquait d’elle quand elle rejoignait son fiancé sur le tournage. Pour exemple, il raconte un curieux SMS qu’elle lui a envoyé à l’occasion de l’émission d’On n’est pas couché du 13 octobre C’est à cause du caractère sans fard de Marie Laforêt que Laurent Ruquier affirme qu’elle n’a pas eu la carrière qu’elle méritait Marie Laforêt ce SMS hallucinant envoyé à Laurent Ruquier quelques jours avant sa mort Je gagne de l’argent, beaucoup d’argent, trop d’ailleurs » Embrasser des femmes, c'est comme embrasser des merdes de chien » Sa vie éparpillée, ses virées sordides, sa carrière en dents de scie et l’alcool brouillent son image au point que, trente ans après sa mort, ce fils de comédiens, né en 1927 et mort d’un cancer en 1983, reste une énigme. La première d'une série de sept a été Apprends-moi Céline en 1977, jusqu'à son spectacle autobiographique en scène L'Éloge de ma paresse en 2002, en passant par On m'appelle Émilie et Les Seins de première apparition à l'écran se fait, en 1959, dans le film Voulez-vous danser avec moi ? Parce qu'elle en avait assez de n'être qu'une bourgeoise exubérante dans ses rôles, elle a décidé d'écrire pour le théâtre des comédies qu'elle interprète comme On m'appelle Émilie » 1984. Maurice Ronet, de son nom de scène Maurice Julien Marie Robinet, naquît le 13 avril 1927 à Nice. Pour ne rien arranger, Marie a souffert du mal de mer, enfermée dans une cabine, “au fond d’un bateau qui puait la mort”, selon ses propres termes ». de Michel Boisrond. 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Maria Pacôme. A consulter en ligne; Fiche ; A consulter en ligne. Forfait Les sous-doués. De Claude Zidi. 1h32min12 . Bébel et ses petits camarades du Cours Louis XIV, sont réputés pour être des fainéants et d'invétérés farceurs. Leur lycée est même dernier du classement au baccalauréat avec 100% de recalés à l'examen ! Après une plaisanterie qui regarder 0140 The Sandman Will Keep You Awake - The Loop ModèleConfusion Maurice Ronet, de son vrai nom Maurice Robinet, est un acteur et réalisateur français né le 13 avril 1927 à Nice et décédé d'un cancer le 14 mars 1983 à Paris France. Il fut marié avec Maria Pacôme de 1950 à 1956 et de 1980 jusqu'à sa mort à Josephine Chaplin, avec laquelle il eut un enfant. Sa tombe se trouve au cimetière de Bonnieux, dans le Luberon. Filmographie comme acteur[] Cinéma[] 1949 Rendez-vous de juillet, de Jacques Becker 1951 Un grand patron, de Yves Ciampi 1952 La Jeune folle, de Yves Allégret 1952 Les Sept Péchés capitaux, de Yves Allégret segment La Luxure 1953 La Môme vert-de-gris, de Bernard Borderie 1953 Horizons sans fin, de Jean Dréville 1953 Lucrèce Borgia, de Christian-Jaque 1954 À toi... toujours Casta diva, de Carmine Gallone 1954 Le Guérisseur, de Yves Ciampi 1954 Châteaux en Espagne El Torero, de René Wheeler 1954 Casa Ricordi, de Carmine Gallone 1955 Gueule d'ange, de Marcel Blistène 1955 Les Aristocrates, de Denys de La Patellière 1956 La Sorcière, d'André Michel 1956 Section des disparus, de Pierre Chenal 1957 Celui qui doit mourir, de Jules Dassin 1958 Ascenseur pour l'échafaud, de Louis Malle 1958 Agent secret Carve Her Name with Pride, de Lewis Gilbert 1958 Cette nuit-là, de Maurice Cazeneuve 1959 Un jeudi comme les autres, de Daniel Wronecki voix court-métrage 1959 Ce corps tant désiré, de Luis Saslavsky 1959 Carmen de Grenade Carmen la de Ronda, de Tulio Demicheli 1960 Plein soleil, de René Clément 1960 Mon dernier tango Mi último tango, de Luis César Amadori 1960 Il Peccato degli anni verdi, de Leopoldo Trieste 1961 Le Rendez-vous de minuit, de Roger Leenhardt 1961 Les Grandes personnes, de Jean Valère 1962 Portrait Robot, de Paul Paviot 1962 Liberté I, de Yves Ciampi 1962 La Dénonciation, de Jacques Doniol-Valcroze 1963 Casablanca nid d'espions, de Henri Decoin 1963 Le Meurtrier, de Claude Autant-Lara 1963 Tempête sur Ceylan Das Todesauge von Ceylon, de Gerd Oswald et Giovanni Roccardi 1963 Le Feu follet, de Louis Malle 1963 Les Vainqueurs The Victors, de Carl Foreman 1964 Le Voleur de Tibidabo, de Maurice Ronet 1964 Les Parias de la gloire, d'Henri Decoin 1964 Donde tú estés, de Germán Lorente 1964 La Ronde, de Roger Vadim 1965 Trois chambres à Manhattan, de Marcel Carné 1966 La Longue marche, d'Alexandre Astruc 1966 La Ligne de démarcation, de Claude Chabrol 1966 Les Centurions Lost Command, de Mark Robson 1966 Amador, de Francisco Regueiro 1967 Le Jardin des délices Il Giardino delle delizie, de Silvano Agosti 1967 Le Scandale, de Claude Chabrol 1967 La Route de Corinthe, de Claude Chabrol 1968 La Femme écarlate, de Jean Valère 1968 Le Diable sous l'oreiller Un Diablo bajo la almohada, de José María Forqué 1968 Histoires extraordinaires, de Federico Fellini, Louis Malle et Roger Vadim voix 1968 How Sweet It Is!, de Jerry Paris 1968 Les oiseaux vont mourir au Pérou, de Romain Gary 1969 Delphine, d'Éric Le Hung 1969 La Femme infidèle, de Claude Chabrol 1969 La Piscine, de Jacques Deray 1969 Les Femmes, de Jean Aurel 1970 Que fais-tu grande folle ? Splendori e miserie di Madame Royale, de Vittorio Caprioli 1970 La Modification, de Michel Worms 1970 Le Dernier saut, d'Édouard Luntz 1970 Qui ?, de Léonard Keigel 1971 Un peu, beaucoup, passionnément..., de Robert Enrico 1971 Raphaël ou le Débauché, de Michel Deville 1971 La Maison sous les arbres, de René Clément 1972 Le Diable dans la tête Il Diavolo nel cervello, de Sergio Sollima 1972 La Chambre rouge, de Jean-Pierre Berckmans 1972 L'Odeur des fauves, de Richard Balducci 1972 Les Galets d'Étretat, de Sergio Gobbi 1973 Sans sommation, de Bruno Gantillon 1973 Don Juan ou Si Don Juan était une femme..., de Roger Vadim 1973 L'Affaire Crazy Capo, de Patrick Jamain 1973 La Seduzione, de Fernando Di Leo 1974 Commissariato di notturna, de Guido Leoni 1974 Marseille contrat The Marseille Contract, de Robert Parrish 1974 Le Cri du cœur, de Claude Lallemand 1974 Seul le vent connaît la réponse Die Antwort kennt nur der Wind, d'Alfred Vohrer 1975 Bis zur bitteren Neige, de Gerd Oswald 1975 La Messe dorée, de Beni Montresor 1976 Oh mia bella matrigna!, de Guido Leoni 1976 À l'ombre d'un été, de Jean-Louis van Belle 1976 La Merde Perché si uccidono, de Mauro Macario 1976 Nuit d'or, de Serge Moati 1977 Madame Claude, de Just Jaeckin 1977 Mort d'un pourri, de Georges Lautner 1979 Liés par le sang Bloodline, de Terence Young 1981 Le Règlement intérieur, de Michel Vuillermet 1981 Sphinx, de Franklin J. Schaffner 1981 Beau-père, de Bertrand Blier 1982 La Guérilléra, de Pierre Kast et Antonio Tarruella 1982 Un matin rouge, de Jean-Jacques Aublanc 1982 La Balance, de Bob Swaim 1983 Surprise Party, de Roger Vadim. Télévision[] 1964 Le Puits et la pendule, d'Alexandre Astruc court-métrage 1971 L'Heure éblouissante, de Jeannette Hubert 1974 Les Fargeot, de Patrick Saglio série 1976 Peut-être en automne, de Jeannette Hubert 1976 L'Homme de sable, de Jean-Paul Carrère 1977 Emmenez-moi au Ritz, de Pierre Grimblat 1978 Madame le juge, de Claude Barma série segment Monsieur Bais 1979 Orient-Express, de Daniele D'Anza feuilleton segment Jenny 1981 L'Atterrissage, d'Éric Le Hung 1982 Ce fut un bel été, de Jean Chapot 1982 La Nuit du général Boulanger, d'Hervé Bromberger 1982 La Déchirure, de Franck Apprederis. Filmographie comme réalisateur[] 1964 Le Voleur du Tibidado 1973 Vers l'île des dragons TV 1973 Mozambique TV 1976 Bartleby 1978 La Folie du doute TV 1978 Orient-Express TV 1978 Histoires insolites Folies douces TV 1981 Histoires extraordinaires Le Scarabée d'or TV 1981 Histoires extraordinaires Ligeia TV. Lien externe[] Maurice Ronet sur l'Internet Movie Database Portail de la réalisation audiovisuelle Portail de la réalisation audiovisuelle ptMaurice Ronet svMaurice Ronet 4pFEo.
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