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Lacompagnie LÊŒĂźle de la Tortue est originaire de Clichy-Sous-Bois en Seine-Saint-Denis, une banlieue abandonnĂ©e oĂč aucune guerre contre le chĂŽmage, les discriminations, la paupĂ©risation, le sexisme, la radicalisation, nÊŒa Ă©tĂ© remportĂ©e gratis bewegende emoticons downloaden.Un territoire oĂč les stigmates de la mort de deux adolescents en 2005 dans un transformateurLe cinĂ©ma Le Studio vous propose une projection accompagnĂ©e dâune lecture de quelques extraits du livre Nos rĂȘves de pauvres » de Nadir Dendoune, le vendredi 13 octobre Ă 19 h de Messaouda Dendoune, algĂ©rienne, 81 ans, arrivĂ©e en France il y a 60 ans, et depuis 1968 Ă la citĂ© Maurice Thorez de lâĂle-Saint-Denis dans le 93. âDes figues en avrilâ raconte le parcours de cette âkabyle des montagnesâ mais aussi sa vie dans son HLM depuis que son mari Mohand Dendoune. 89 ans aujourdâhui, atteint dâAlzheimer, a Ă©tĂ© placĂ© dans une maison mĂ©dicalisĂ©e. Projection accompagnĂ©e dâune lecture de quelques extraits du livre âNos rĂȘves de pauvresâ 2017, chez JC LattĂšs de Nadir Dendoune, en sa prĂ©sence. Une sĂ©ance proposĂ©e avec le soutien de la librairie Les Mots Passants. Vendredi 13 octobre Ă 19h30 Au cinĂ©ma le Studio Renseignements Courriel TĂ©l. 09 61 21 68 25
Samedi9 juillet, les habitantes et habitants de LâĂle-Saint-Denis ont rendez-vous avec la Seine au niveau de la « plage » de la citĂ© Thorez Lire plus . Barbecue festif Ă la citĂ© Thorez. 21 Mai 2022 0 0 0. Lâassociation Les Ponts en Paix organise toute une aprĂšs-midi festive et collective Ă la citĂ© Maurice-Thorez (quartier Nord) samedi 21 mai Lire plus. GoĂ»ter et jeux de
CitéMaurice Thorez Nous demandons au bailleur Seine-Saint-Denis Habitat d'intervenir dans les meilleurs délais pour mettre fin à cette problématique qui prend de l'ampleur. Nous demandons au bailleur Seine-Saint-Denis Habitat de mettre réellement en place, des moyens pour alléger le fardeau des habitants, dans l'attente de réparations définitives des ascenseurs.
Je suis stupĂ©fait, franchement.» L'expert psychiatre en bafouillepresque. Ils ne sont pas les mĂȘmes que ceux que j'avais interrogĂ©s il y a quinze ans.» Ils», ce sont Patrick D. et Aklim O., respectivement accusĂ©s de meurtre et de complicitĂ© d'homicide volontaire. Vendredi, ils» comparaissaient devant la cour d'assises de Bobigny pour le meurtre d'un jeune homme, Patrice Joaquim,19 ans, abattu d'une balle de 22 long rifle au pied d'un immeuble de la citĂ© Maurice Thorez Ă L'Ile-Saint-Denis Seine-Saint-Denis. Issue tragique Ă une banale histoire de rĂšglement de comptes. Sauf que les faits datent de 1982. Et que, maintenant, dans le box des accusĂ©s, Patrick D., l'adolescent prĂ©sumĂ© meurtrier, a 35 ans. Les traits creusĂ©s, la mine sombre, l'homme Ă©coute, le regard plongĂ© dans sa parka marron. A ses cĂŽtĂ©s, son copain d'autrefois, veste pied de poule, crĂąne lĂ©gĂšrement dĂ©garni, silencieux. Des hommes respectables», sont venus dire leur famille et leurs 28 mai 1982 en soirĂ©e, Patrice Joaquim dĂ©cide de rĂ©cupĂ©rer sa moto volĂ©e. Il va dans la citĂ© Maurice Thorez, oĂč il pense pouvoir la retrouver. A son arrivĂ©e, des coups de feu claquent. Cinq ou six, selon les tĂ©moins. Le garçon s'effondre. Les regards se portent tout de suite vers un balcon d'immeuble. Il y avait Patrick D., un mĂ©canicien automobile, et son copain Aklim O. Ils avaient 19 ans tous les deux. Patrick reconnaĂźt avoir tirĂ©. Il n'a jamais vraiment expliquĂ© son geste. Il est arrĂȘtĂ© et Ă©crouĂ©. Aklim est mis en examen pour complicitĂ© d'homicide dix-neuf mois passĂ©s derriĂšre les barreaux, Patrick est libĂ©rĂ© en janvier 1984, et placĂ© sous contrĂŽle judiciaire. Son copain est restĂ© dix mois en prison. Depuis, les deux ont refait leur vie. Magasinier et machiniste Ă Eurodisney, puis technicien audiovisuel, Patrick est devenu intermittent du spectacle. Aklim est animateur dans un centre de loisirs. A l'Ă©poque, le psychiatre les avait jugĂ©s Ă la limite de la ans aprĂšs, la cour d'assises s'est penchĂ©e jeudi et vendredi sur ce dossier. Un dĂ©lai record» selon les termes de l'avocat de Patrick D., GĂ©rard Faivre C'est vrai que cela a Ă©tĂ© trĂšs long. L'affaire Ă©tait en permanence reportĂ©e. Comme mon client est sorti de prison il y a quatorze ans, elle a fini par ne plus ĂȘtre prioritaire.» Six juges d'instruction se sont succĂ©dĂ©, chacun transmettant le dossier Ă l' lenteur de procĂ©dure peut aussi s'expliquer par le flou qui rĂšgne aujourd'hui encore sur les circonstances de la mort de Patrice Joaquim. Les enquĂȘteurs n'ont mĂȘme pas pu mettre la main sur l'arme du crime. Pourquoi les accusĂ©s Ă©taient-ils Ă leur balcon? Pourquoi Patrick D. avait-il une arme? Pourquoi a-t-il tirĂ©? J'avais 19 ans, je n'avais pas conscience de mon geste», a-t-il dit aux jurĂ©s, sans donner plus d'explication. Le verdict Ă©tait attendu vendredi soir tard. LacitĂ© Maurice-Thorez a marchĂ© pour Fahiza Plusieurs centaines de personnes ont dĂ©filĂ© en mĂ©moire de la jeune maman, tuĂ©e et dĂ©membrĂ©e par le frĂšre de son petit ami. Par Le 30 octobre La chronique du Tocard Nadir Dendoune © Nadir Dendoune Mardi 12 avril 2016 Je suis carrĂ©ment fou d'elle. Je l'aime Ă la folie. A la vie, Ă la mort. Elle et moi, c'est pour toujours, et tant pis pour ceux qui ne comprennent pas mon amour pour elle. Ceux qui pensent que jâexagĂšre et que je ne suis pas objectif face Ă mes sentiments. C'est fou de voir autant de gens la dĂ©tester, la dĂ©nigrer et la juger sans mĂȘme la connaĂźtre. Ils la jaugent de loin. Ils la mĂ©prisent. Ils la fantasment. Ils lisent et entendent des choses immondes Ă son sujet. Des trucs pas trĂšs cools, haineux, et plein de violence, de chaos, presque de fin du monde; alors ils imaginent le pire. Moi, câest diffĂ©rent. Je lui dois tout. Elle mâa façonnĂ©. Elle m'a offert Ă la fois de la sensibilitĂ© et de la force, de la douceur et de la haine. Indispensables pour survivre aujourdâhui. Ca nâa pas Ă©tĂ© simple entre nous, câest vrai, mais câest pour ça quâaujourdâhui, je lâaime autant. Et puis je crois mĂȘme que lorsque je disais que je la dĂ©testais, je lâaimais malgrĂ© tout. CâĂ©tait au dĂ©but des annĂ©es 90 et je lâai quittĂ©e pour lâAustralie, le soleil et la plage, mais Ă lâautre bout de la terre, je pensais sans cesse Ă elle. Avec lâĂąge qui passe et les saisons qui sâempilent les unes sur les autres, jâai enfin compris que jâai eu de la chance. La chance dâavoir vĂ©cu dans une citĂ©. La chance dâĂȘtre un banlieusard. Mes vieux sont arrivĂ©s en mars 1969 Ă la citĂ© Maurice Thorez avec sept de leurs mioches deux autres allaient voir le jour, une en 1971 et moi, le dernier un an plus tard, dans un endroit Ă taille humaine treize immeubles pour 1500 personnes. Mes parents quittaient enfin leur bidonville ; une piĂšce de 9m2 pour manger, chier et dormir, pour un F5 flambant neuf, avec des placards, un balcon et comble du luxe, une grande baignoire. Je tenais Ă peine sur mes deux pattes, je descendais tout seul jouer en bas de notre tour Ă cache-cache, au football ou Ă la marelle. Un gamin comme les autres. Mes parents laissaient toujours la porte ouverte de la maison et leurs enfants pouvaient aller et venir. Libres comme l'air. De temps en temps, maman jetait un coup dâĆil par la fenĂȘtre pour la forme, mais elle nâĂ©tait jamais inquiĂšte la citĂ© câĂ©tait dâabord une grande famille, chacun veillait sur le mĂŽme de lâautre. Un peu comme dans son bled natal, en Kabylie. Les voisins venaient chercher du sucre quand il y en avait plus chez eux, ils restaient parfois prendre le thĂ©. Comme le monde entier Ă©tait rĂ©uni dans notre immeuble, on avait le droit de temps Ă autre Ă quelques douceurs culinaires exotiques, du maffĂ©, des spaghettis bolognaises ou du Bacalhau Ă BrĂĄsâŠTu voyageais de plat en plat. Le jour oĂč il nây avait pas classe, jâallais jouer avec Madiawa, Michel, Rachid, et Alain. A lâĂ©poque, il nây avait pas de "noirs", pas de "beurs", comme les colons de droite et de gauche ont lâhabitude de dire, pas de musulmans ou de juifs on Ă©tait tous des enfants de pauvres. Fiers de nos papas prolĂ©taires courageux qui se sacrifiaient pour nous tous les jours au turbin. Notre rage, on la rĂ©servait Ă lâĂ©lite parisienne et bourgeoise quand on montait sur Paris. Dans les annĂ©es 1980, le quartier Maurice Thorez avait une sale rĂ©putation descentes rĂ©guliĂšres de groupes de jeunes des citĂ©s de Saint-Ouen ou de Saint-Denis qui venaient en dĂ©coudre avec les nĂŽtres, allers-retours frĂ©quents en prison, les drogues dures inondaient les cages dâescaliers, et le taux de chĂŽmage Ă©tait explosif. CâĂ©tait il y a presque trente piges et aujourdâhui rien nâa changĂ©. On Ă©tait violent câest vrai. On allait se battre, on volait dans les magasins. Une violence qui ne venait pas de nulle part, elle Ă©tait lĂ , ancrĂ©e en nous, nourrie par notre mal-ĂȘtre, par la misĂšre sociale et les injustices quâon subissait au quotidien. Mais quelques uns restaient pacifistes, coĂ»te que coĂ»te. Jâai trouvĂ©, moi aussi, un peu de paix, quand jâai connu le sport. Le judo, pour rĂ©sister aux coups, le football pour faire comme les autres, puis lâathlĂ©tisme, parce que jâavais battu tout le monde au Cross du collĂšge, pour la premiĂšre course de ma vie. Et enfin, le tennis, parce quâil nây avait que les Blancs, fils Ă papa, de la ville qui venaient taper Ă la ba-balle et que politiquement, il faut aller lĂ oĂč les Bourges prĂ©fĂšrent rester entre eux. Vers 15 ans, jâai connu lâamour. Celui qui tâobsĂšde jour et nuit. Une fille que jâallais espionner tous les soirs. A travers les rideaux de sa fenĂȘtre, je la regardais vivre, puis sâendormir. Elle nâa jamais su ce que jâavais ressenti pour elle. Ces instants d'intimitĂ© volĂ©e Ă©taient des moments de rĂ©pit pour moi alors que jâallais mal. C'Ă©tait l'Ă©poque oĂč je passais mes journĂ©es Ă traĂźner dans les halls, incapable de bouger mon corps et mon esprit. 17 ans et demi. Fleury-MĂ©rogis. Mon passage par la case prison. A ma sortie, j'avais toujours l'impression d'ĂȘtre derriĂšre les barreaux la citĂ© mâemprisonnait; alors je suis parti Ă Sydney. Jâaurais pu y rester, moi et mon passeport australien. AprĂšs huit ans dâexil, je suis rentrĂ©. Chez moi. Dans cette citĂ© oĂč chaque mur me rappelait un Ă©pisode de ma vie. De la beautĂ© mais aussi de la dĂ©shĂ©rence. Des gens qui sont en permanence dans la survie. Des longues soirĂ©es Ă discuter de tout et de rien avec mes potos, Ă refaire le monde. A imaginer un ailleurs meilleur. Dans ma tĂȘte les souvenirs dansent. La fĂȘte de la citĂ© Thorez, tous les ans en juin, oĂč toutes les gĂ©nĂ©rations se retrouvaient des concerts, une kermesse, des bars et des sandwicheries improvisĂ©s... La salle de quartier qui n'existe plus aujourd'hui oĂč j'ai lu mon premier livre. OĂč j'ai jouĂ© Ă ma premiĂšre partie de Scrabble. Cette fabuleuse citĂ© avec tous ces gens extraordinaires. A l'humour corrosif, aux vannes implacables, que les bourgeois voient comme de la violence verbale. De l'autodĂ©rision Ă n'en plus finir, celle-lĂ mĂȘme qui nous a empĂȘchĂ©s de sombrer davantage. Certains de mes frangins, avec qui jâai grandi, sont partis. Karim, Jean-Pierre, Zina, Laurent... Ils ne sont plus de ce monde. D'autres vivent ailleurs mais ils reviennent toujours. On n'oublie pas sa citĂ© comme ça. Les papas et les mamans sâen vont aussi. Le temps qui passe et qui efface quelques visages qui nous sont chers. ParaĂźt que c'est la vie. On le sait. Mais on ne s'y fait pas. DerriĂšre la citĂ©, il y a un cimetiĂšre. Comme pour tous ceux qui ont connu la citĂ© Maurice Thorez, câest lĂ que jâaimerais ĂȘtre enterrĂ©âŠ. PubliĂ© le 12 avril 2016 Le sommaire de Nadir Dendoune Les derniĂšres mises Ă jour CitĂ©Maurice Thorez Avenue Maurice Thorez LâĂle-Saint-Denis, 93450 France 9h30-20h Sâabonner gratuitement aux lettres dâinfo. Abonnez-vous en moins d'une minute pour recevoir gratuitement par e-mail, au choix tous les jours ou toutes les semaines, une sĂ©lection des articles publiĂ©s par Reporterre. Sâabonner. Commentaires. Articles rĂ©cents. Entretien â Our site is coming soon We are doing some maintenance on our site. It won't take long, we promise. Come back and visit us again in a few days. Thank you for your patience!MessaoudaDendoune, AlgĂ©rienne de 81 ans, est arrivĂ©e en France il y a 60 ans et vit depuis 1968 Ă la citĂ© Maurice Thorez de l'Ăle-Saint-Denis. Son fils, journaliste et Ă©crivain, filme le quotidien de cette « kabyle des montagnes » dans son HLM depuis que son mari Mohand Dendoune, 89 ans aujourd'hui, atteint d'Alzheimer, a Ă©tĂ© placĂ© dans une maison mĂ©dicalisĂ©e.
Habitants 7 030 habitants DensitĂ© de population 4050 hab/kmÂČ Population de moins de 20 ans 31 % Population de 20 ans Ă 60 ans 54 % Population de plus de 60 ans 15 % Age moyen 35 ans Personnes par mĂ©nage 2,5 personnes/mĂ©nage RetraitĂ©s 12 % Chomage 20 % Revenu mensuel moyen 1 960 euros / mois Cadres 40 % EmployĂ©s, ouvriers 60 % Taux de fĂ©conditĂ© 11 % Croissance Ă©conomique -11 % Croissance dĂ©mographique -1 % PropriĂ©taires 24 % RĂ©sidences secondaires 0 % Taxe d'enlĂšvement des ordures mĂ©nagĂšres 7 % Taxe d'habitation 14 % Taxe fonciĂšres 27 % HLM Logement Social 60 % Animation du quartier AnimĂ© Villes et villages fleuris Aucune fleur Commerces 2,1 tous les 100m Pluie 621 mm par an Soleil 1713 heures par an Ecoles / CrĂšches 7,3 Ă©tab./kmÂČ Terrains de sport 25,1 Ă©quip./kmÂČ Espaces Verts 45 % Transports 13,6 tran./kmÂČ MĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes 1760 hab./gĂ©nĂ©raliste Sources Station Bp Villeneuve La Garenne 840 m Kyriad Paris Ouest - Villeneuve La Garenne 866 m Auchan Villetaneuse 963 m Campanile Paris Nord - Saint Denis - Quai De St Ouen Pleyel 1 452 m Carrefour Drive Villeneuve La Garenne 1 569 m Sources CollĂšge Alfred Sisley 716 m Sources Sources Aire de Jeux de Proximite 349 m Centre sportif de l'Ile des Vannes 2 773 m Gymnase Municipal 228 m Plateau d'Evolution 2 518 m Stade Robert Cesar 615 m Terrain de Proximite 1 66 m Terrain de Proximite 3 849 m Terrain de Proximite 4 2 625 m Sources paris-charles-de-gaulle situĂ© Ă 10,34 km bus cimetiere de l'ile-saint-denis situĂ© Ă 114 m Sources 223 boulevard Gallieni 92390 villeneuve la garenne L'agence n'a pas prĂ©cisĂ© ses points forts 171 Avenue de la RĂ©publique 93800 Ăpinay-sur-Seine Ouvert le Samedi Ouvert tard le soir AnciennetĂ© > 15 ans 67 Boulevard Foch 93800 Epinay Sur Seine L'agence n'a pas prĂ©cisĂ© ses points forts 114 Voie Promenade 92390 Villeneuve-la-Garenne Ouvert le Samedi SpĂ©cialiste du Quartier AnciennetĂ© > 10 ans 35 Boulevard Carnot 93200 St Denis SpĂ©cialiste location SpĂ©cialiste vente Ici, vous avez la possibilitĂ© de vous dĂ©placer en mĂ©tro ou rer, la station Cimetiere De L'ile-saint-denis est Ă une distance de 0,11 km du Rue Maurice Thorez, 93450 L'Ăle-Saint-Denis. Enfin, lâaĂ©roport le plus proche est Paris-charles-de-gaulle situĂ© Ă 10,34 km de Rue Maurice Thorez, 93450 L'Ăle-Saint-Denis . j3cQ58.