Ilfaut donner du sens Ă  tout cela. 2. Faites-le parler de sa journĂ©e. Demander Ă  votre ado s'il a passĂ© une bonne journĂ©e, c'est presque une utopie. PersĂ©vĂ©rez ! S'intĂ©resser Ă  sa journĂ©e au collĂšge ou au lycĂ©e, c'est s'intĂ©resser Ă  sa vie. Pour nous, parents, notre journĂ©e est consacrĂ©e Ă  notre mĂ©tier. Si vous cherchez des moyens de motiver les enfants Ă  Ă©tudier, vous trouverez dans cet article des conseils pour les aider Ă  prĂ©parer leurs existe diffĂ©rentes maniĂšres de motiver les enfants Ă  Ă©tudier. L’une des meilleurs est de tirer parti de leur capacitĂ© innĂ©e Ă  vouloir savoir et apprendre. DĂšs leur plus jeune Ăąge, ils imitent vos actions et celles de votre mari, leur cerveau Ă©tant prĂȘt Ă  absorber facilement les cette façon, vous pouvez tirer parti de cette capacitĂ© innĂ©e et la diriger vers la motivation par le biais d’études. Pour cette raison, les enseignants recommandent les Ăąges et les stades du primaire, lorsque les enfants absorbent avec plaisir, tels des Ă©ponges, les connaissances qui leur sont des armes les plus importantes pour rĂ©ussir sur le plan professionnel est la motivation. Il est donc trĂšs important de motiver vos enfants Ă  avoir de meilleurs rĂ©sultats scolaires dĂšs le plus jeune Ăąge. Dans cet article, vous trouverez 7 façons de motiver les enfants Ă  motiver les enfants Ă  Ă©tudier ?Il est essentiel que les enfants soient motivĂ©s pour donner le meilleur d’eux-mĂȘmes Ă  l’école et pour Ă©prouver du plaisir pendant le processus d’ cela, vous devez crĂ©er un environnement qui les sensibilise Ă  l’effort et au dĂ©vouement, puisqu’un enfant motivĂ© fera de son mieux, apprendra avec une attitude positive et aura la capacitĂ© de rĂ©soudre les problĂšmes de diffĂ©rentes maniĂšres. Il existe 3 lignes directrices pour motiver les enfants Ă  Ă©tudier Renforcement positifL’une des attitudes qui incitera votre enfant Ă  Ă©tudier est le renforcement positif. Votre approbation est l’une des plus grandes rĂ©compenses que l’enfant puisse recevoir pour ses votre joie pour les bonnes notes, pour avoir accompli quelque chose de compliquĂ©, pour surmonter les obstacles Ă  l’apprentissage
 donne Ă  votre enfant l’envie de rĂ©pĂ©ter ces tĂąches et ces rĂ©alisations pour recevoir vos compliments, comme les enfants aiment faire plaisir Ă  leurs parents. La mise en Ă©vidence de ses efforts protĂšge votre enfant des Ă©checs Ă  ce qu’étudie votre enfantParlez avec lui pour savoir ce qu’il apprend, montrez-vous intĂ©ressĂ© et posez-lui des pouvez le relier Ă  quelque chose dans votre vie commune. Par exemple, vous pouvez lui demander de passer en revue la somme des achats ou une autre tĂąche dans laquelle l’enfant pourra montrer quelque chose de ce qu’il a appris en tenant compte des exercices rĂ©alisĂ©s Ă  l’ votre enfant s’il a des mauvaises notesSi votre enfant reçoit une note infĂ©rieure Ă  celle attendue, vous pouvez lui parler pour l’encourager Ă  passer Ă  autre chose. VĂ©rifiez ce qui peut avoir causĂ© ce rĂ©sultat. Une fois dĂ©tectĂ©, ne le rĂ©primandez pas, mais cherchez plutĂŽt des solutions pour l’aider Ă  comprendre quelque chose ou passer plus de temps Ă  Ă©tudier ce qu’il n’a pas est Ă©galement trĂšs important de faire rĂ©fĂ©rence Ă  d’autres obstacles dĂ©jĂ  surmontĂ©s. Il serait trĂšs bon de parvenir Ă  des accords conjoints, car vous devez transmettre Ă  l’enfant la certitude que vous ĂȘtes convaincu que cela peut s’amĂ©liorer, ainsi que tout votre soutien pour y façons de motiver les enfants Ă  Ă©tudierVoici quelques conseils simples et utiles pour promouvoir la motivation chez votre enfant 1. DĂ©finir les bonnes attentesN’oubliez pas que votre enfant est conscient de la façon dont vous le percevez et ajustez souvent vos attentes en fonction de ses pensĂ©es. Pour cette raison, si vous voulez que votre enfant rĂ©ussisse, il est fort possible que sa motivation soit beaucoup plus grande. Si vos attentes sont faibles, il est trĂšs probable que vous n’atteindrez pas les rĂ©sultats dĂ©finir les bonnes attentes et en fonction de votre enfant, il convient de lui parler des domaines d’études qu’il aime et dans lesquels il excelle pour dĂ©finir des attentes plus Ă©levĂ©es. RĂ©Ă©valuez, si nĂ©cessaire, les intĂ©rĂȘts et les aptitudes, car ils vont changer Ă  mesure que l’enfant grandit pour ajuster les attentes en fonction de chaque Fixez des objectifs qui aident votre enfantIl est trĂšs important que vous appreniez Ă  votre enfant Ă  se fixer ses propres objectifs. Écrivez les objectifs sur un morceau de papier et placez-les Ă  un endroit visible de la maison afin que votre enfant les garde Ă  l’esprit chaque jour. Rappelez-vous que les objectifs doivent ĂȘtre spĂ©cifiques et Montrez-lui que l’école est importanteSi vous trouvez un moyen de montrer Ă  votre enfant votre intĂ©rĂȘt et votre enthousiasme pour l’éducation, il adoptera la mĂȘme susciter l’intĂ©rĂȘt, vous pouvez Ă©tablir une relation avec l’enseignant de votre enfant, soutenir les programmes scolaires, crĂ©er un environnement appropriĂ© pour faire les devoirs et savoir quels tests rĂ©aliser, les devoirs, et ce que votre enfant DĂ©velopper une attitude positive envers l’écoleSi votre enfant observe votre intĂ©rĂȘt pour les devoirs, il le percevra Ă©galement de la mĂȘme maniĂšre. N’oubliez pas que chaque enfant a sa propre façon d’étudier et d’apprendre. Soutenez le style d’apprentissage de votre enfant, aidez-le Ă  le dĂ©couvrir et encouragez-le Ă  l’utiliser de la meilleure façon existe trois types d’élĂšves l’élĂšve auditif, celui qui apprend en Ă©coutant ; l’élĂšve visuel, celui qui retient l’information en lisant ou en analysant un graphique, et l’élĂšve kinĂ©siologue qui apprendra Ă  travers des exercices Utilisez des mots qui motiventIl est trĂšs important que vous encouragiez votre enfant, car avec cela, vous pouvez le motiver bien plus qu’en faisant des Ă©loges. La motivation implique que l’enfant s’évalue de maniĂšre positive, ce qui lui permet de reconnaĂźtre son effort. Il s’agit de l’encourager Ă  faire mieux la prochaine fois car cela incitera les enfants Ă  Motivez l’apprentissage Ă  la maison et dans la communautĂ©Vous devez faire en sorte que votre enfant perçoive l’apprentissage comme un acte amusant. Les enfants motivĂ©s voient l’apprentissage n’importe oĂč et comprennent qu’il existe des activitĂ©s amusantes qui apportent Ă©galement des les musĂ©es sur des sujets que votre enfant Ă©tudie, lisez un classique de la littĂ©rature pour enfants, puis regardez la version du film, par Renforcez l’estime de soi de votre enfantSi vous promouvez la force chez votre enfant, vous verrez qu’il sera plus motivĂ©, car cela lui permettra de se prĂ©parer face Ă  l’adversitĂ©, de faire face Ă  ces problĂšmes et de rĂ©soudre tout type de problĂšmes, car il tirera parti de ses atouts et, s’il se trompe, il le prendra comme une opportunitĂ© d’ les enfants Ă  Ă©tudier les aidera Ă  avoir de meilleures performances scolaires et, par consĂ©quent, votre soutien et votre attitude seront d’une grande importance pour leur avenir. Nous espĂ©rons que vous mettrez en pratique les 7 raisons que nous vous donnons dans cet pourrait vous intĂ©resser ... DĂ©couvrezComment motiver les enfants Ă  faire leurs devoirs : pour les parents, les enseignants et les intervenants, le livre de Louise St-Pierre chez LES ÉDITIONS QUÉBEC-LIVRES sur Librest.com, Groupement de librairies indĂ©pendantes du Grand Paris La motivation, ah, la motivation ! Quel sujet mystĂ©rieux. Pourquoi un enfant peut-il recommencer des heures une partie de jeu vidĂ©o pour s’amĂ©liorer et passer au niveau supĂ©rieur
 
 alors qu’il va traĂźner les pieds pour faire un seul devoir ? Comprendre ce qui motive J’adore observer mes enfants, comprendre ce qui marche ou ne marche pas, et essayer en dĂ©duire des outils pour les aider. La semaine derniĂšre, j’ai Ă©tĂ© Ă©tonnĂ©e par l’un d’entre eux. Celui-ci n’aime pas faire d’effort plus que ce qu’il estime nĂ©cessaire. Par exemple, il va toujours essayer de prendre le minimum de temps pour ses devoirs, minimum qui devrait suffire pour une note correcte . Il part du principe qu’il veut toujours ĂȘtre sĂ»r qu’il n’a pas trop » travaillĂ© par rapport au rĂ©sultat qu’il a. Bref efficacitĂ© Ă  tout prix. Sur un plan, il a raison. On parle beaucoup du 20/80. 20% du temps que nous passons amĂšne 80% du rĂ©sultat. En revanche, les 20% suivants risquent de prendre beaucoup plus de temps. Malheureusement, avec ce calcul, il nivelle ses rĂ©sultats vers le bas;il ne s’habitue pas Ă  fournir des efforts. Or, au fur et Ă  mesure de la progression dans les niveaux scolaires, les exigences augmentent;et Ă  chaque fois qu’il fait un effort supplĂ©mentaire, il ne supporte plus avoir une mauvaise note. Cette mauvaise note vient confirmer son a-priori cela ne sert Ă  rien de travailler plus. » Et puis, la semaine derniĂšre, changement🧐. Il a eu envie d’avoir une bonne note Ă  son oral d’anglais. Il s’est mis Ă  travailler. Il a acceptĂ© de travailler un plan, au brouillon. Il a acceptĂ© de s’entrainer Ă  l’oral. Il a acceptĂ© de modifier des phrases. De rĂ©pĂ©ter, rĂ©pĂ©ter, rĂ©pĂ©ter. Dit comme cela, cela ne parait pas un effort Ă©norme. Mais je peux vous assurer que par rapport Ă  son habitude personnelle, chacune des ces Ă©tapes reprĂ©sentaient pour lui un effort monumental. En s’entrainant, il a amĂ©liorĂ© sa prononciationson texteson aisance et il a pris de l’assurance. RĂ©sultat la prof a Ă©tĂ© bluffĂ©e, et elle a eu l’intelligence de le fĂ©liciter. Il est rentrĂ© Ă  la maison, gonflĂ© Ă  bloc 🎉. Expliciter les attentes, pas la mĂ©thode Alors que s’est-il passĂ© ? Qu’est-ce qui a gĂ©nĂ©rĂ© ce changement radical de position ? Je suis revenue en arriĂšre sur cette expĂ©rience pour essayer de comprendre ce qui s’était passĂ©. Mon objectif, bien sĂ»r, est de trouver comment rĂ©pĂ©ter cette expĂ©rience satisfaisante pour lui – car le bĂ©nĂ©fice d’ĂȘtre fĂ©licitĂ© par la prof est immense – et pour nous – car il est rayonnant
 et nous n’avons pas besoin de lui demander de travailler. En y rĂ©flĂ©chissant, je me suis souvenue qu’au dĂ©but de l’annĂ©e, j’avais en tĂȘte de le faire progresser en anglais. Pour cela, j’avais dĂ©cidĂ© de demander Ă  une jeune fille bilingue en anglais de discuter chaque semaine 1 heure avec lui. Bon, autant dire que cette idĂ©e ne lui a pas plu du tout. Il s’est bloquĂ©. Nous en avons Ăąprement discutĂ©. De guerre lasse, Ă  la fin de cette discussion, je lui ai dit OK je comprends que tu ne veux pas te faire imposer de mĂ©thode pour obtenir de bonnes notes. En revanche, j’ai besoin de savoir que tu fais en sorte d’obtenir de bonnes notes en anglais cette annĂ©e. Tu choisis ta mĂ©thode. Cela te convient-il ? » Sur le moment, cela ne lui a pas plu non plus. Car il avait l’impression que c’était du chantage. Que s’il avait acceptĂ© ma proposition initiale, il n’aurait eu aucune obligation d’avoir des bonnes notes
 Mais cela a fait son chemin. Et il a DECIDE de lui-mĂȘme ce qu’il voulait faire. Qu’il voulait me montrer qu’il POUVAIT avoir des bonnes notes. J’avais donc fait une erreur imposer MA mĂ©thode. Il prĂ©fĂ©rait en rĂ©alitĂ© que je lui explicite mon attente. Charge Ă  lui de s’y conformer. Et il s’est pris au jeu. Comme si on dĂ©lĂ©guait
 En fait, c’est exactement la mĂȘme chose que lorsqu’on veut dĂ©lĂ©guer une tĂąche Ă  un collaborateur. Quand on attend un bon comportement/ des bonnes notes de ses enfants, c’est un peu comme si on leur dĂ©lĂ©guait une tĂąche
 sans avoir vraiment verbalisĂ© cette attente. Souvent d’ailleurs les attentes sont immenses, car elles sont augmentĂ©es de tout ce qu’on aurait voulu bien faire nous. Ou de toutes les dĂ©ceptions ou les Ă©preuves que nous avons vĂ©cues que nous voudrions Ă©pargner Ă  notre enfant. Mais notre enfant n’est pas nous. Or, lorsqu’on dĂ©lĂšgue une tĂąche, il est totalement inutile – et mĂȘme contre-productif – de dĂ©tailler la mĂ©thode pour atteindre le rĂ©sultat, comme si c’est NOUS qui devions faire la tĂąche. Aucune motivation ne viendra jamais de l’utilisation d’un mode d’emploi. Si on dĂ©lĂšgue une tĂąche en explicitant en dĂ©tail toutes les Ă©tapes Ă  rĂ©aliser, on tue le dĂ©sir de la personne. On bloque sa rĂ©flexion et elle ne saura pas s’adapter Ă  une situation qu’elle n’a pas forcĂ©ment comprise ou acceptĂ©e. Il faut au contraire garder un certain “mystĂšre” autour de la tĂąche Ă  rĂ©aliser. Les rĂšgles d’une bonne dĂ©lĂ©gation peuvent, de mon point de vue, tout Ă  faire ĂȘtre applicables dans ce contrat que nous passons avec nos enfants 1/ faire confiance Ă  la personne Ă  qui on dĂ©lĂšgue et ĂȘtre prĂȘt Ă  assumer les risques Ă©ventuels d’échecs -> Avoir VRAIMENT confiance en son enfant, dans sa capacitĂ© et dans sa volontĂ© de bien faire. Avoir confiance dans les valeurs qu’on lui a transmises notre enfant est capable de mettre de lui-mĂȘme des limites, se souvenant de ce que nous lui avons appris. Pas besoin non plus d’imaginer tout de suite les dĂ©rives possibles prendre du recul et laisser une chance Ă  son enfant de nous prouver qu’on peut lui faire confiance. 3/ DĂ©crire le rĂ©sultat attendu et seulement le rĂ©sultat attendu -> Expliciter son attente auprĂšs de son enfant. En Ă©tant le plus explicite possible. Cela permet aussi de se poser la question Ă  soi de nos objectifs et de pouvoir vĂ©rifier s’ils sont vraiment si importants. IntĂ©ressant de savoir ce qu’on souhaite et pourquoi. On oublie souvent de se poser la question. 3/ Fixer une Ă©chĂ©ance atteignable et faire des points rĂ©guliers -> Penser Ă  donner des Ă©lĂ©ments de mesure du rĂ©sultat. Fixer une date permet de se revoir pour identifier si le rĂ©sultat est atteint ou non. PrĂ©voir lors de la dĂ©finition du rĂ©sultat Ă  atteindre des RDV rĂ©guliers pour faire le point d’avancement et pouvoir identifier les besoins, les problĂšmes auquel l’enfant est confrontĂ©. Ou bien juste faire Ă©tat de ce qui se passe bien. 4/ Laisser la personne autonome mais rester en permanence Ă  l’écoute -> Ne pas contrĂŽler ou ĂȘtre sur son dos en permanence. En revanche bien montrer qu’il peut nous poser des questions et qu’il ne sera pas jugĂ©. 5/ Mettre Ă  disposition les ressources requises –> Discuter avec lui des diffĂ©rentes ressources Ă  sa disposition et lui permettre d’y accĂ©der. UndĂ©licieux burger sauce au poivron et pecorino, des frites de butternut craquantes, une gĂ©nĂ©reuse pizza Ă  la ricotta et aux champignons ou encore des nuggets de poulet et moutarde au miel et au curry : voilĂ  qui ravira votre adolescent et l’introduira Ă  une cuisine saine et diversifiĂ©e ! Au secours ! Mon ado ne veut pas travailler un livre pour accompagner la scolaritĂ© difficile des adolescents PrĂ©sentation de l’éditeur Votre ado dĂ©croche au collĂšge ou au lycĂ©e, refuse de faire ses devoirs, de rĂ©viser ses cours ? De la simple nonchalance ou du traditionnel test de l’autoritĂ© parentale, cette attitude peut rapidement s’ancrer et enfermer progressivement l’adolescent lui-mĂȘme dans un rapport dĂ©prĂ©ciĂ© Ă  ses propres capacitĂ©s, et dans une vision nĂ©gative de son parcours scolaire. Afin d’éviter l’instauration d’une telle situation et pour que le travail scolaire ne soit plus systĂ©matiquement l’objet de tensions ou de disputes Ă  rĂ©pĂ©tition, le prĂ©sent guide fourmille de solutions adaptĂ©es Ă  diverses situations, dans lesquelles les parents pourront puiser pour retrouver les conditions d’un accompagnement serein Ă  la scolaritĂ© de leur enfant. Simples et faciles Ă  mettre en oeuvre, ces solutions ont fait la preuve de leur efficacitĂ© auprĂšs de nombreux adolescents. L’autrice Titulaire d’un doctorat, coach scolaire auprĂšs d’adolescents et mĂšre de famille, Isabelle Sandillon est investie dans l’éducation depuis plus de vingt ans. Elle a notamment puisĂ© dans son parcours d’enseignante des ressources qui lui ont permis de dĂ©velopper des outils spĂ©cifiques dĂ©diĂ©s Ă  la rĂ©ussite scolaire des adolescents. Les points forts Isabelle Sandillon a rĂ©digĂ© cet ouvrage en s’appuyant sur ses expĂ©riences d’accompagnement d’adolescents en difficultĂ© scolaire. Elle s’adresse aux parents pour leur donner des clĂ©s et des outils afin de renouer le dialogue et de redonner confiance Ă  l’adolescent en ses capacitĂ©s. Pour ce faire, elle s’appuie sur trois parties, chaque partie Ă©tant subdivisĂ©e en chapitres Faire le point grĂące Ă  deux questionnaires pour identifier les points de blocage Partager une activitĂ© plaisante pour renouer le lien Mener un entretien en tĂȘte Ă  tĂȘte pour faire le point sur les blocages et envies Accompagner l’adolescent vers l’autonomie Changer de perspective et crĂ©er un changement positif dans la relation S’intĂ©resser aux points forts et aux centres d’intĂ©rĂȘt de l’ado sans l’étouffer Deux maĂźtres mots planification et organisation Comprendre la personnalitĂ© de l’ ado sans projeter ses propres peurs et envies de parent Être un soutien indĂ©fectible et offrir de l’amour inconditionnel Des efforts et des rĂ©sultats qui n’appartiennent qu’à l’adolescent Construire ensemble des mĂ©thodes d’apprentissage et d’organisation efficaces Apprendre Ă  apprendre Focus sur les maths pour ne plus dĂ©crocher Concevoir une mĂ©thode de travail personnelle Établir un partenariat avec des ressources externes enseignants, intervenants scolaires, soutien scolaire
 Isabelle Sandillon met l’accent sur la restauration de la relation parent/ ado parce qu’elle sait bien que les difficultĂ©s scolaires peuvent ĂȘtre sources de tension et rompre le lien. Toute la premiĂšre partie consiste Ă  prĂ©parer un entretien apaisĂ© et efficace avec l’adolescent. A la fin de l’ouvrage, des questionnaires vierges sont proposĂ©s Ă  cet effet pour Ă  la fois prĂ©parer cet entretien et le mener. Son approche est rĂ©solument bienveillante et positive et intĂšgre Ă  part entiĂšre l’adolescent dans la construction d’une nouvelle dynamique. Elle invite les parents Ă  faire confiance Ă  leur adolescent et en gardant en tĂȘte que les adolescents ont avant tout besoin d’un rĂ©servoir d’amour rempli par des liens chaleureux et du soutien parental. Les outils proposĂ©s par Isabelle Sandillon sont pratico-pratiques introduire du changement matĂ©riel rĂ©organiser la chambre, ordonner les affaires
; Ă©laborer une nouvelle planification de l’articulation des diffĂ©rents temps Ă©cole, devoirs, activitĂ©s extra scolaires, repos, temps familiaux
; valoriser les progressions plutĂŽt que les rĂ©sultats ; Ă©laborer des stratĂ©gies d’apprentissages efficaces avec des petites astuces. Par exemple, Isabelle Sandillon rappelle que l’objectif d’apprendre par cƓur a un sens car toutes nos connaissances sont en lien avec la rĂ©alitĂ©. Tout le monde a besoin, Ă  un moment ou un autre dans sa vie, de faire appel aux connaissances emmagasinĂ©es dans la mĂ©moire nommer l’endroit prĂ©cis du corps oĂč on a mal, tenir une discussion comprĂ©hensible avec une personne qui parle une langue Ă©trangĂšre, Ă©crire une lettre de motivation sans erreur d’orthographe
 Isabelle Sandillon conseille d’inviter les enfants et adolescents qui ont des donnĂ©es Ă  apprendre par coeur Ă  Se projeter dans la logique intrinsĂšque de la matiĂšre concernĂ©e, voire au-delĂ , pour comprendre Ă  quoi sert cet apprentissage voir les 5 questions pour approfondir la comprĂ©hension et le traitement des informations avec la gestion mentale; Se projeter dans le ou les exercices demandĂ©s par l’enseignant et visualiser ce qui est attendu la nature des attentesrestitution orale, Ă©crite, QCM, problĂšmes utilisant les donnĂ©es Ă  apprendre en situation, nombre d’exercices
 et les circonstances matĂ©rielles contrĂŽle, concours, salle de classe habituelle ou autre lieu, prĂ©sence d’autres adultes que le prof, jury, durĂ©e de l’épreuve
; Entrer dans le coeur des apprentissages en ayant abordĂ© les deux premiers points pour savoir oĂč aller et comment y aller. Tout l’objectif de ce livre est d’accompagner progressivement les adolescents avec une scolaritĂ© difficile Ă  reprendre confiance en eux, Ă  gagner en autonomie, Ă  mieux s’organiser tout en sachant qu’ils peuvent compter sur le soutien inconditionnel de leurs parents. 










































. Au secours ! Mon ado ne veut pas travailler
 Des solutions simples, efficaces et faciles Ă  mettre en oeuvre de Isabelle Sandillon Ă©ditions Eyrolles est disponible en mĂ©diathĂšque, en librairie ou sur internet. Commander Au secours ! Mon ado ne veut pas travailler sur Amazon, sur Decitre, sur Cultura ou sur la Fnac

JournalistespĂ©cialisĂ©e dans l’éducation et la psychologie, mĂšre de 2 ados et accompagnatrice bĂ©nĂ©vole de collĂ©giens en difficultĂ©, Maria Poblete est l’auteure de "Comment mettre mon

Pour vous abonner Ă  ma chaĂźne Youtube, cliquez ici Aujourd’hui, nous allons parler des ados. Vous ĂȘtes trĂšs nombreux Ă  me laisser des commentaires pour mes vidĂ©os, en me disant oui, mais pour un ado, qu’est-ce qu’on fait ? » En effet, avec un ado, on rencontre les mĂȘmes problĂšmes qu’avec les plus petits, mais ce n’est pas la mĂȘme gestion. Un ado qui ne veut pas faire ses devoirs, il est difficile d’ĂȘtre derriĂšre, de le pousser et de le motiver. Dans cette vidĂ©o, je vous donne mes 5 clefs pour vous aider Ă  gĂ©rer cette situation avec votre adolescent. Avant d’aller plus loin, je vais vous demander de m’aider et je vous le demanderai dans toutes les prochaines vidĂ©os jusqu’à ce que vous ayez ce rĂ©flexe. Si vous avez envie que je continue Ă  faire ces vidĂ©os, il va falloir me soutenir et pour cela ce que je vais vous demander est trĂšs simple ; vous avez juste Ă  cliquer un pouce en dessous de la vidĂ©o, de mettre un commentaire, si vous faites les deux c’est encore mieux ; quant au commentaire, il n’y a pas besoin d’en mettre des couches et des couches, ceci dit, vous pouvez, je les lis tous et je rĂ©ponds personnellement ; d’ailleurs, Youtube, c’est le seul endroit oĂč vous pouvez avoir un contact direct avec moi ; n’hĂ©sitez donc pas si vous voulez laisser un commentaire, mais, si vous voulez juste m’aider et me soutenir, mettez un Ă©moticĂŽne, un petit super », un petit top » ou un petit merci », cela suffira largement. Revenons Ă  nos moutons ou plutĂŽt Ă  nos ados et Ă  leurs devoirs. La premiĂšre chose Ă  ne surtout pas faire et que font la majoritĂ© des parents, parce que cela nous dĂ©mange il faut bien le dire, ça nous Ă©nerve, c’est de sermonner, juger, crier, menacer. Plus vous allez rentrer dans un rapport de force avec votre ado, plus il va faire exactement la mĂȘme chose avec vous ; vous allez vous prendre le truc en pleine figure et dans le miroir total ! Vous allez rĂ©sister, il va rĂ©sister encore plus et lĂ  c’est l’escalade et l’on finit par s’épuiser, plus qu’eux parce que nous n’avons pas que ça Ă  faire et qu’il est douloureux d’entrer en conflit avec son enfant. N’entrez pas dans un rapport de force, mĂȘme si vous sentez qu’il est tendu, qu’il ne veut pas parler de ce sujet, que c’est vraiment Ă©pidermique chez lui, mais, Ă  un moment, il va bien falloir en parler quand mĂȘme ; or, plus vous serez vous dans la bienveillance et dans l’empathie, plus ce sera facile. La premiĂšre chose Ă  faire avec lui, c’est de revoir son organisation ; plutĂŽt que d’imposer vos propres rĂšgles, essayez de voir avec lui comment il voit les choses. Peut-ĂȘtre que les devoirs, c’est trop ! Peut-ĂȘtre a-t-il trop d’activitĂ©s. Personnellement, je vois des enfants qui sont surchargĂ©s de travail et autres. Ce n’est pas facile d’ĂȘtre un ado et pas facile non plus d’avoir autant de choses Ă  faire, et franchement, quand je vois la liste des devoirs, je me fĂ©licite de ne plus ĂȘtre Ă  l’école ! Soyons donc en empathie et comprenons-le, si l’on Ă©tait Ă  sa place, et l’on sait combien, Ă  cet Ăąge-lĂ , on prĂ©fĂ©rerait jouer, Ă©couter de la musique, parler Ă  ses copains. C’est ça la premiĂšre chose Ă  faire, c’est de voir avec lui quelle organisation il veut. Parce qu’un ado, ça a besoin de se divertir aussi, de jouer, de se dĂ©tendre, un peu comme nous, quand on rentre du boulot, ce n’est pas pour se remettre au boulot ! Il faut peut-ĂȘtre Ă©valuer avec votre enfant de combien de temps il a besoin. La deuxiĂšme chose, c’est de faire attention aux Ă©crans. C’est vrai qu’il est plus facile de passer du temps sur les Ă©crans que de faire ses devoirs. C’est encore plus vrai pour un adolescent. Je vais vous donner une astuce super, si mes filles Ă©taient lĂ  elles diraient non, maman, il ne faut pas le dire » ! Elles disent ça tout le temps parce que j’en parle Ă  tout le monde autour de moi, il s’agit de l’application Kidslox ». Je vous rassure, je ne suis pas sponsorisĂ©e, toutefois s’ils le voulaient, je serais trĂšs contente, mais, je trouve ça gĂ©nial ! C’est une petite application qui permet de verrouiller Ă  distance le tĂ©lĂ©phone de votre enfant. Il y a une version gratuite, la version payante coĂ»te une trentaine d’euros pour l’annĂ©e, ce qui n’est pas excessif ; vous pouvez dĂ©cider des plages horaires, le moment auquel votre enfant peut utiliser son tĂ©lĂ©phone, mais aussi de la durĂ©e d’appel ; par exemple, mes filles, elles ont une heure par jour, elles ne peuvent pas utiliser leur tĂ©lĂ©phone avant 8 heures le matin parce que sinon, elles ne font que ça, elles ne s’habillent plus, elles ne mangent plus, et elles n’ont plus l’usage de leur tĂ©lĂ©phone Ă  partir de 17 h 30 je crois, ou 18 heures plutĂŽt, parce que cela Ă©vite que le soir, Ă  nouveau, elles se remettent sur le tĂ©lĂ©phone. Ça coupe la connexion, ça coupe tout ce qui a accĂšs Ă  internet, cela ne coupe pas le tĂ©lĂ©phone et c’est quand mĂȘme trĂšs pratique pour pouvoir les joindre s’ils ne sont pas lĂ . Faites attention aux Ă©crans donc, ainsi que les jeux vidĂ©o, il faut cadrer ; vous les avez achetĂ© vous-mĂȘmes, souvent, ces jeux vidĂ©o, il faut mettre des rĂšgles claires, souvent il faut rĂ©tablir les limites Ă  l’adolescence, pour remettre les choses au clair, c’est normal qu’il y ait des limites et des rĂšgles. Vous en avez, vous aussi, dans votre travail, dans votre vie de tous les jours, et concernant votre adolescent, c’est lui permettre de devenir un bon citoyen que de savoir respecter les rĂšgles et les limites. Une autre clef, c’est de savoir s’ouvrir au dialogue ; ne restez pas fermĂ© quand il fait des remarques ; vous verrez que plus vous aurez sa coopĂ©ration, plus il va s’impliquer dans les rĂšgles et dans la mĂ©thodologie de travail, et plus il va la respecter. Surtout, soyez souple, ouvrez-vous au dialogue, mĂȘme si ça ne vous convient pas, fixez les choses et comptez sur lui pour qu’il s’y plie et qu’il s’engage vraiment. Et enfin, il va falloir le motiver. Le motiver c’est lui montrer que cela ne sert pas Ă  rien tout ce qu’il apprend Ă  l’école ; cela sert toujours Ă  quelque chose, ne serait-ce que pour acquĂ©rir de la culture gĂ©nĂ©rale ; les mathĂ©matiques cela sert toute la vie, on passe son temps Ă  faire des mathĂ©matiques ; quand on veut calculer des Tees-shorts en solde, quand on veut rĂ©duire une recette qui est pour 8 personnes ; il y a des tas de situations oĂč l’on utilise les mathĂ©matiques sans s’en rendre compte ; il y a quand mĂȘme des choses sympas que l’on apprend Ă  l’école et le tout, c’est d’expliquer Ă  votre enfant qu’avoir son BaccalaurĂ©at c’est comme dĂ©crocher une clef qui ouvre plusieurs portes ; il faut tenir au moins jusque-lĂ , parce que jusque-lĂ  c’est quand mĂȘme trĂšs gĂ©nĂ©raliste, il y a des matiĂšres que l’on aime plus ou moins, mais il faut s’accrocher parce qu’aprĂšs, on va pouvoir choisir ! On pourra d’autant mieux choisir si l’on a de meilleurs rĂ©sultats. J’espĂšre sincĂšrement que cette vidĂ©o vous aura plu, n’oubliez pas de me laisser un petit pouce avant de partir, un petit commentaire, vous pouvez aussi vous abonner Ă  la chaine ; si vous voulez encore plus de conseils que vous ne retrouverez nulle part ailleurs, tĂ©lĂ©chargez mon e-book et vous serez immĂ©diatement inscrit Ă  ma liste de diffusion. Je vous retrouve trĂšs bientĂŽt pour une prochaine vidĂ©o, et rappelez-vous il n’y a pas de parents parfaits, il n’y a que des parents qui font de leur mieux » !

Commentmotiver un adolescent Ă  Ă©tudier? 8 pistes pour dĂ©bloquer la motivation des ados . Poursuivre ses rĂȘves. Se faire plaisir. Se faire confiance. Prendre conscience de ses forces. DĂ©velopper l’autonomie d’apprentissage. DĂ©finir des objectifs. Adopter la “mĂ©thode des petits pas” Comment aider un enfant qui ne veut pas Ă©tudier? Si

Votre enfant n’a pas l’air trĂšs motivĂ© par ce qui se passe en classe et manifeste peu d’intĂ©rĂȘt pour le collĂšge ou le lycĂ©e
 Les conseils de GeneviĂšve Henry, psychologue, pour comprendre ce qu’il ressent et trouver une attitude adaptĂ©e qui pourra l’aider Ă  retrouver le goĂ»t d’apprendre et de travailler. La motivation n’arrive pas de l’extĂ©rieur “J'entends sans arrĂȘt cette rĂ©flexion de la part des parents peut-ĂȘtre qu'un jour, il va avoir un dĂ©clic
 On est dans le registre de la pensĂ©e magique, comme si la motivation allait arriver un jour de l'extĂ©rieur, observe GeneviĂšve Henry, je crois qu'ils font fausse route, aucune force extĂ©rieure ne peut pousser un adolescent Ă  se mettre au travail.” La confusion est entretenue par tout ce que l'on met derriĂšre le mot “motivation”, et principalement les rĂ©sultats scolaires. On dit “Il n'est pas motivĂ©â€ d'un Ă©lĂšve quand il n'obtient pas de bons rĂ©sultats. On confond notes et compĂ©tences. “Les parents qui parlent de dĂ©clic, sont souvent dans la rĂ©compense et la punition, ajoute GeneviĂšve Henry, comme si encore une fois l'extĂ©rieur pouvait guider le goĂ»t de l'effort, la curiositĂ© ou le sentiment de compĂ©tence chez l'enfant.” Motivation et intĂ©rĂȘt sont toujours liĂ©s. On rĂ©ussit quand on est intĂ©ressĂ©, et vice versa L'intĂ©rĂȘt de l'enfant vient avec la rĂ©ussite. Et cela marche dans les deux sens on rĂ©ussit quand on est intĂ©ressĂ© et on est intĂ©ressĂ© parce qu'on a rĂ©ussi. L'enfant dĂ©veloppe alors un sentiment de compĂ©tence. “Qu'est-ce qui fait qu'un Ă©lĂšve se sent compĂ©tent ?” demande GeneviĂšve Henry. “Ce que lui renvoie le systĂšme ! Or le systĂšme repose sur des notes. S'il obtient de mauvaises notes, qu'il ait travaillĂ© ou non, on ne lui reconnaĂźt aucune compĂ©tence. L'effort n'est pas reconnu.” “Certains prĂ©fĂšrent alors ne plus travailler pour s'exposer moins, protĂ©ger leur estime de soi, explique GeneviĂšve Henry. C'est ce qu'on appelle la rĂ©signation apprise’.” Les rĂ©sultats sont trĂšs diffĂ©rents si l'on s'applique Ă  partir de l'individu, de ce qu'il sait faire – tout en Ă©tant persuadĂ© qu'il peut le faire ! – et Ă  dĂ©velopper sa curiositĂ©. Une curiositĂ© et un dĂ©sir d’apprendre pas toujours constants
 “Il arrive que des enfants manquent d'appĂ©tit scolaire Ă  certains moments de leur parcours, observe GeneviĂšve Henry. Soit parce qu'ils n'ont pas envie de grandir, ou que leur dĂ©sir d'apprendre, leur curiositĂ© sont parasitĂ©s par des problĂšmes familiaux, psychiques, relationnels
” Sans compter qu'Ă  l'entrĂ©e dans l'adolescence, ĂȘtre bon Ă©lĂšve n'est pas spĂ©cialement valorisĂ© par les pairs et range quasi automatiquement du cĂŽtĂ© du dĂ©sir des adultes !“Il y a de plus, une vraie diffĂ©rence entre les filles et les garçons, rappelle GeneviĂšve Henry ; l'implication des filles Ă  l'Ă©cole est plus grande. Les garçons ont du mal Ă  se projeter, ils manquent de curiositĂ©, de maturitĂ©.” Les facteurs qui font qu'un enfant se retrouve en Ă©chec ne sont donc pas liĂ©s Ă  ses compĂ©tences. Si son esprit est ailleurs, il n'absorbe rien, ne digĂšre rien.“On ne force pas un anorexique Ă  manger, observe GeneviĂšve Henry. Avec le savoir, c'est pareil ! On ne gave pas un adolescent, cela ne sert Ă  rien. Mieux vaut chercher Ă  comprendre ce qu'il traverse.” Le 12 septembre 2011 Sophie CoucharriĂšre
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Skip to main content La rentrĂ©e est dĂ©jĂ  loin derriĂšre et vous avez comme l’impression que la vie scolaire de Jules ou de Julie est comme sa chambre en bazar total. Devoirs faits Ă  l’arrache Ă  23h, livre Ă  acheter en catastrophe, exercices perdus »  il ou elle a peut-ĂȘtre besoin que vous lui donniez des astuces pour s’organiser. Quel espace de travail ? Souvent les adolescents ne souhaitent pas travailler dans leur chambre car il y a trop de distractions. On peut les aider Ă  organiser leur espace de travail dans leur chambre en installant une mezanine par exemple. S’il souhaite travailler dans la cuisine ou le salon, pas de souci on veillera juste » Ă  Ă©teindre la tĂ©lĂ©vision Ă©videmment. RĂ©viser dans son lit ? Pourquoi pas si le stylo n’est pas nĂ©cessaire si c’est le cas, soyez intraitable on se met sur une table. Pour son dos, son bras, sa main, l’écriture qui va s’ensuivre ET pour la rigueur nĂ©cessaire Ă  un travail manuscrit, on n’écrit pas dans un lit ! Le bureau doit ĂȘtre bien rangĂ©, tant pis si le reste est un peu en bazar. On vous livre une petite astuce pour ranger et retrouver tout de suite ses affaires prendre des cahiers ou des classeurs d’autant de couleurs diffĂ©rentes qu’on a de matiĂšres et s’y tenir toute l’annĂ©e. Quand on fait son sac la veille
, prendre le cahier bleu pour les maths et l’orange pour la gĂ©o, c’est plus facile et rapide pour notre cerveau
 Important tablette et tĂ©lĂ©phone ne sont pas les bienvenus sauf si une recherche internet est nĂ©cessaire. Mais dĂšs qu’elle est faite, votre ado Ă©teint l’écran et se met en mode avion il sait faire. Comment gĂ©rer son emploi du temps ? Il peut organiser - sur un grand planning - son emploi du temps en n’oubliant pas de noter ses activitĂ©s sportives ou crĂ©atives. On y note aussi les heures obligatoires de devoirs et leçons. On parle de 5h minimum au collĂšge et 10h minimum en seconde. Il existe des calendriers adhĂ©sifs format A3, effaçables, bien pratiques quand l’emploi du temps change dans l’annĂ©e chez Avery. Inutile de se prĂ©cipiter pour faire les devoirs, le cerveau a besoin de souffler un peu en rentrant, on s’accorde une pause de 20-30 minutes avant de se mettre au travail. Il n’y a pas de devoirs? Relire sa leçon, coller ou ranger les feuilles volantes, regarder son agenda pour anticiper les devoirs Ă  rendre, c’est indispensable et ça, chaque jour. BIEN ÉCOUTER ET NOTER les consignes et Ă©noncĂ©s de devoirs dans son agenda permet de gagner du temps et d’éviter le messenger/sms d’urgence aux copains de la classe. Se prĂ©parer la veille on l’a dĂ©jĂ  dit mais faire son sac et prĂ©parer ses vĂȘtements la veille, c’est tellement plus confortable
 et plus sĂ»r l’esprit frais le soir, on risque moins d’oublier le cahier ou le livre ! Mieux apprendre Faire des fiches reprendre rĂ©guliĂšrement le cours en notant le plan sur des fiches permet de faire travailler la mĂ©moire rĂ©alisateur ». Pour aider sa mĂ©moire visuelle, on utilise bien sĂ»r la couleur Ă  vos STABILO BOSS et autres STABILO point 88 pour mettre en couleur le cours ! Utiliser les cartes mentales ou mind mapping » la mĂ©thode pour rĂ©aliser ces cartes mentales qui permettent par le dessin et la couleur d’apprendre ses leçons ou mĂȘme de construire un plan de dissertation. Super utile pour tous, elle est particuliĂšrement adaptĂ©e pour ceux qui sont rĂ©fractaires aux mĂ©thodes classiques et ont du mal Ă  apprendre. Faire des schĂ©mas lĂ  encore, on fait travailler sa mĂ©moire visuelle Ă  l’aide de STABILO de couleur. On n’hĂ©site pas Ă  prendre un Ă©lĂšve » pour lui expliquer la leçon car ce qui se conçoit bien, s’explique clairement ». Si l’on est capable d’expliquer simplement Ă  quelqu’un qui n’a pas eu le cours ce qu’est le revenu des mĂ©nages ou la chute du Mur de Berlin avec un schĂ©ma, c’est qu’on maĂźtrise le sujet ! view more Article prĂ©cĂ©dent Les problĂšmes d’apprentissage de l’écriture 19. October 2016 D’aprĂšs les derniĂšres Ă©tudes, il semble par contre que les difficultĂ©s... Article suivant Ouvrir une adresse email pour son bĂ©bĂ©, une bonne idĂ©e ? 09. January 2017 bĂ©bĂ© une bonne idĂ©e ? Aimez cet article ! Partagez cet article !
Eneffet, votre enfant passera beaucoup de temps en rentrant de l’école, du collĂšge ou du lycĂ©e et pour le motiver Ă  travailler mieux vaut
DR Faut-il laisser un adolescent libre dans sa chambre ou au contraire lui fixer des limites ? La rĂ©ponse du pĂ©dopsychiatre Marcel Rufo. Interview... Rebelle ou studieux, introverti ou extraverti l'adolescent anime souvent la maison, voire l'agite avec force ! Sa chambre est souvent son antre, son refuge. Pour en savoir plus sur la chambre de l'adolescent et notamment quelle doit l'attitude des parents, a interviewĂ© un pro des ado Marcel Rufo, chef du service mĂ©dico-psychologique de la famille et de l'enfant au CHU Sainte-Marguerite de Marseille et auteur de nombreux ouvrages sur le sujet. Pour Marcel Rufo, l'adolescent est dans une pĂ©riode oĂč il forge son caractĂšre, ce qui se retranscrit de divers façons dont celle de disposer de sa chambre. Il estime que l'ado a un besoin essentiel d'espace et de libertĂ© pour grandir. Pas sĂ»r que ça plaise Ă  tous les parents... La chambre est-elle importante pour la vie de l'adolescent ?Certainement, car la chambre de l'adolescent reprĂ©sente son autonomie, son intimitĂ©, son territoire, sa grotte... La chambre d'un adolescent incarne l'opposition Ă  celle de ses parents. Par exemple, l'ado qui a des troubles du sommeil n'ira pas dormir dans la chambre de ses parents, contrairement au petit enfant qui ira s'y rĂ©fugier. MĂȘme s'il ne trouve pas le sommeil, le jeune ado prĂ©fĂšre rester dans son lit. La chambre d'un ado, c'est aussi son lieu de jeu, de sexualitĂ©, d'ouverture sur le monde, surtout lorsqu'il a un ordinateur. C'est Ă©galement son endroit secret oĂč il peut cacher son cahier derriĂšre un meuble. Curieusement, la chambre de l'adolescent est un lieu pour sortir de la maison, s'en Ă©vader. Comment faire pour qu'il s'y sente bien ?Le jeune adulte fait de sa chambre un espace Ă  lui. Il faut le laisser dans son monde et Ă©viter qu'il ne soit pas en permanence avec les parents. Dans certaines situtations, c'est compliquĂ©, par exemple si l'enfant partage sa chambre avec un frĂšre ou une soeur. Dans ce cas il suffit d'une attention particuliĂšre, comme un petite amoire fermĂ©e Ă  clĂ©. Il y a la chambre et ce qui peut reprĂ©senter l'intimitĂ©, ce Ă  quoi l'adolescent tient beaucoup. Enfin la chambre est un endroit oĂč l'ado peut s'ennuyer ce qui est trĂšs important pour lui. Faut-il laisser l'ado tout chambouler dans sa chambre, changer les meubles de place ?Oui, l'ado doit bouger les meubles, le lit, et mettre les choses dans tous les sens. Sa chambre est une chambre qui ne vit ni au passĂ© ni Ă  l'avenir, mais au prĂ©sent. Le jeune est un peu Ă  l'hĂŽtel lorsqu'il est chez lui, ce qui est une bonne chose car il doit pouvoir s'Ă©chapper. La dĂ©coration dans la chambre d'un adolescent lui permet aussi de se cacher. Les posters, par exemple, sont des planques il faut essayer de voir derriĂšre les affiches leur rĂ©elle signification. Tout ce que je peux dire c'est que la chambre de l'adolescent est une projection de sa personnalitĂ©. Il faut lui laisser le champ libre pour qu'il puisse se sentir Ă  l'aise. NĂ©anmoins les parents doivent pouvoir intervenir lorsqu'ils sentent que les choses vont trop loin. Les parents doivent-il aller jusqu'au conflit en cas de dĂ©saccord ?Les parents doivent survivre ! Ils doivent Ă©viter d'adopter des rĂšgles qui sont source de conflit. Il est indispensable qu'ils n'aillent pas contre l'envie de leur enfant, car cela va tout de suite aller dans l'exagĂ©ration. L'adolescent doit ĂȘtre libre dans sa chambre. L'adolescence est une pĂ©riode qui voit l'apparition du goĂ»t. Il est nĂ©cessaire que les parents fassent des concessions, car le goĂ»t pourra ĂȘtre bon ou mauvais. L'ado aura des envies de changement, comme remplacer un meuble ou un objet qu'il adorait Ă©tant petit mais qu'il n'apprĂ©cie plus dĂ©sormais. Il convient d'accĂ©der Ă  ses demandes et de ne pas lutter. C'est son territoire. Oui, mais en cas d'attitude choquante ou de dĂ©coration extrĂȘme ?Plusieurs situations existent. Par exemple, si l'adolescent met des images Ă©rotiques voire pornographiques sur ses murs, il faut lui demander de les cacher. Les parents doivent lui expliquer qu'ils n'ont pas Ă  voir ces images. L'ado doit dans ce cas les accrocher Ă  l'intĂ©rieur de l'armoire, Ă  la maniĂšre d'un casier de matelot. NĂ©anmoins, si l'atmosphĂšre de la chambre est trĂšs trĂšs particuliĂšre, ce n'est plus la dĂ©coration qui est en cause. Il est important de regarder au delĂ . Dans le cas d'une chambre sataniste avec des reprĂ©sentations du diable, de sang et d'horreur, ce n'est pas la chambre qu'il faut remettre en question mais l'enfant, qui peut avoir un problĂšme. L'ado a-t-il selon vous le droit de s'enfermer ?Pas tout Ă  fait. Car sa chambre reste une piĂšce Ă  part entiĂšre dans la maison. Les parents ont l'obligation de pouvoir y rentrer quand ils le souhaitent, mĂȘme s'il y a un loquet permettant Ă  l'ado de s'enfermer. L'enfant doit savoir que ses parents ont un droit d'accĂšs. Ils doivent nĂ©anmoins respecter son intimitĂ©, grĂące Ă  des rĂšgles simples, notamment frapper avant d'entrer. Encore une fois, pour l'adolescent sa chambre est la piĂšce principale de la maison. Ce qui est mieux ainsi car il n'ira pas polluer le reste de la maison. Faut-il laisser un adolescent avoir une tĂ©lĂ© ou un ordinateur dans sa chambre ?Oui, c'est bien. C'est une façon pour eux de s'ouvrir sur le monde, de se cultiver diffĂ©remment. Mais il faut ĂȘtre vigilant et surtout voir au cas par cas. Si un jeune reste tout le temps sur son ordinateur, ça devient prĂ©occupant. LĂ  encore, ce n'est pas l'ordinateur qu'il faut remettre en cause... Quelles sont les conditions Ă  respecter pour que l'ado puisse Ă©tudier convenablement ?Il n'existe aucune rĂšgle. Normalement, l'adolescent travaille seul dans sa chambre, mais il peut, s'il le souhaite, travailler sur la table du sĂ©jour, avec la tĂ©lĂ©vision en fond. Il faut simplement qu'il soit dans les dispositions qui lui conviennent le plus. >> Et vous, qu'en pensez vous ? Quels sont vos problĂšmes ou solutions avec vos ados ? RĂ©agissez ci-dessous dans les commentaires Z10Lr0m.
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