JePense Ă  Toi Que mes vers et mes rimes soient d’amour inspirĂ©s Je pense Ă  toi. A cet amour qui nous attend, restons fidĂšles. D’amour en amitiĂ© D’amitiĂ© en amour Nous avons Ă©rigĂ© les murs de notre histoire CouchĂ©e dans un roman, Sans partager la couche. Viendra le jour Viendront les nuits Viendront nos Ă©claircies voir dans poeme papa ce soir je pense a toi papa, Ă©crire quelques lignes je te doit bien sa... c'est toi qui m'a mit au monde, par moment grace a toi j'aspire a ĂȘtre ici en ce monde. tu m'appuis a chaques secondes, tu m'as ouvert les yeux sur la vie apres la mort, quand je te demande de l'aide tu es la. je ne saurrais expliquer comment et pourquoi... je le sais au plus profond de moi... j'aimerais parfois aller te rejoindre, m'envoler sans ne jamais me retouner, mais pour elles je m'oblige a rester. je sais la vie vaut la peine d'ĂȘtre vĂ©cue. il y a les bas et les hauts qui nous font grandir. au moins je sais que tu es la, l'amour est Ă©ternel, au dela du temps et du vent! j'ai encore tellement de choses a accomplires, tellement de buts d'objectifs parfois je me fait mĂȘme rire!! a bientot sur encore quelques lignes... tu sais papa tu me manque tellement. je me retrouve parfois tourbillonant en ce monde. tu me manque, maman me manque.... Jepense trop Ă  mon ex, je n’arrive pas Ă  accepter la rupture Tu penses trop Ă  ton ex, et Ton ex n’a plus envie de rĂ©pondre , tu te sens Ă©puisĂ© (Ă©e) Ă©motionnellement. Toutefois, si tu baisses les bras et tu bois ton cafĂ© matin et soir, tu n’auras comme fin qu’une dĂ©pression chronique et ï»żA Propos du TexteUn de mes poĂšmes mis sous forme de Soir Encore, Je Pense À chĂšre, je t’écris ces longues lignes dans la brise du soir pour te demander ce que tu retiendras de moi lorsque tout ne sera plus que souvenirs. Te rappelleras-tu tout cet amour que je souhaitais t’offrir ? Penseras-tu encore de temps en temps Ă  cette passion dĂ©vorante et dĂ©chirante qui Ă©tait mienne ? Tout ce que j’ai fait de mal c’est espĂ©rer la rĂ©ciprocitĂ© de ces sentiments c’est vrai, j’ai un peu rĂȘvassĂ©. Au milieu des Ă©tincelles et des Ă©clats, j’ai cherchĂ© la Belle de mes nuits. Oui je sais tu ne vois pas les choses comme moi, un drap de lin ou de velours semble masquer le chassĂ©-croisĂ© de nos regards distincts. Je suis rongĂ© d’égoĂŻsme, tempĂȘtes et orages en plein cƓur, tu le c’est vrai, la rĂ©alitĂ© est mĂ©prisante, et mon imaginaire est orgueilleux. Tous me l’ont rappelĂ© et je te cherchais, tu le savais. Toi, tu t’éclipsais, regard bleu azur au dĂ©tour de la rue. Pour moi l’essentiel c’était d’avoir quelqu’un pour qui trembler, quelqu’un pour qui fulminer cette adulation vĂ©hĂ©mente. Oui c’est vrai que l’amour perd son Ă©lĂ©gance quand il cesse d’ĂȘtre soir encore je pense Ă  toi. Ce soir encore je n’ai envie que de toi, de me retrouver dans tes bras. Ce soir encore, j’ai absolument tout sauf suis lĂ  pour toi, j’écris pour toi. LĂąchement, sans jamais te nommer ni sans jamais me nommer. Mais j’écris Ă  dĂ©faut de pouvoir m’exprimer Ă  voix haute. Tu sais on me l’interdit. Ma parole est muselĂ©e, mon regard est bĂąchĂ©, ma personne est cherche ton regard, je cherche ton sourire, une attention particuliĂšre qui me laissera croire que d’illusion en dĂ©sillusion, je retrouverai ces papillons qui dans mon ventre chantent tes louanges lĂ  oĂč ne subsistent aujourd’hui qu’un terrible nƓud. Aujourd’hui comme demain, je me demande Ă  quoi bon fulminer mes passions, pourquoi scander mon le martĂšle sur des airs mĂ©lodramatiques oĂč se mĂȘlent Ă  outrance sentiments et pulsions. Je me sais romantique mais je suis bouffi d’orgueil. Oui c’est vrai, je radote et je ressasse. Mais il y de ces soirs oĂč je voudrais te dire combien je t’aime, combien mon amie me soir encore je pense Ă  toi. Ce soir encore je n’ai envie que de toi, de me retrouver dans tes bras. Ce soir encore, j’ai absolument tout sauf je serais parti ou que tu m’auras fuit, dit moi ma Belle, que retiendras-tu de tous ces souvenirs ? Pour moi je crains que ne subsistent que les souvenirs fantasmĂ©s de ce qui aurait pu ĂȘtre. J’aurais pu croire que tu n’étais qu’une illusion. J’aurais pu croire que tu n’étais que le fruit de mon imagination. Je me demande si je dois me battre encore. Dans ton dos tu penses que je souris mais ce n’est qu’affabulation. Ce qui me chagrine, c’est que nos quelques bons moments se noient dans tous ces soir encore je pense Ă  toi. Ce soir encore je n’ai envie que de toi, de me retrouver dans tes bras. Ce soir encore, j’ai absolument tout sauf je fais un pas un avant, lancera-tu un regard en arriĂšre ? De L'ÉcritPhonĂ©tique Ce Soir Encore, Je Pense À ʃΔʁə, ʒə tekʁi sΔ lÉ”ÌƒÉĄ liÉČə dɑ̃ la bʁizə dy swaʁ puʁ tə dəmɑ̃de sə kə ty ʁətjɛ̃dʁa də mwa lɔʁskə tu nə səʁa plys kə suvəniʁ. tə ʁapΔllʁa ty tu sΔt amuʁ kə ʒə suΔtΔ tɔfʁiʁ ? pɑ̃səʁa ty ɑ̃kɔʁə də tɑ̃z- ɑ̃ tɑ̃z- a sΔtə pasjɔ̃ devɔʁɑ̃tə e deʃiʁɑ̃tə ki etΔ mjΔnə ? tu sə kə ʒΔ fΔ də mal sΔt- Δspeʁe la ʁesipʁɔsite də sΔ sɑ̃timɑ̃ sΔ vʁΔ, ʒΔ Ć“Ìƒ pĂž ʁΔvase. o miljĂž dΔz- etɛ̃sΔlləz- e dΔz- ekla, ʒΔ ʃΔʁʃe la bΔllə də mΔ nÉ„i. ui ʒə sΔ ty nə vwa pa lΔ ʃozə kɔmə mwa, Ć“Ìƒ dʁa də lɛ̃ u də vəluʁ sɑ̃blə maske lə ʃase kʁwaze də no ÊÉ™ÉĄaʁd distɛ̃. ʒə sÉ„i ʁɔ̃ʒe deɡɔismə, tɑ̃pΔtəz- e ɔʁaʒəz- ɑ̃ plɛ̃ kĆ“Ê, ty lə sΔ vʁΔ, la ʁealite Δ mepʁizɑ̃tə, e mɔ̃n- imaʒinΔʁə Δt- É”ÊÉĄĆ“jĂž. tus mə lɔ̃ ʁapəle e ʒə tə ʃΔʁʃΔ, ty lə savΔ. twa, ty teklipsΔ, ÊÉ™ÉĄaʁ blĂž azyʁ o detuʁ də la ʁy. puʁ mwa lesɑ̃sjΔl setΔ davwaʁ kΔlkĆ“Ìƒ puʁ ki tʁɑ̃ble, kΔlkĆ“Ìƒ puʁ ki fylmine sΔtə adylasjɔ̃ veemɑ̃tə. ui sΔ vʁΔ kə lamuʁ pΔʁ sɔ̃n- eleÉĄÉ‘Ìƒsə kɑ̃t- il sΔsə dΔtʁə swaʁ ɑ̃kɔʁə ʒə pɑ̃sə a twa. sə swaʁ ɑ̃kɔʁə ʒə nΔ ɑ̃vi kə də twa, də mə ʁətʁuve dɑ̃ tΔ bʁa. sə swaʁ ɑ̃kɔʁə, ʒΔ absɔlymɑ̃ tu sof sÉ„i la puʁ twa, ʒekʁi puʁ twa. laʃəmɑ̃, sɑ̃ ʒamΔ tə nɔme ni sɑ̃ ʒamΔ mə nɔme. mΔ ʒekʁiz- a defo də puvwaʁ mΔkspʁime a vwa-otə. ty sΔz- ɔ̃ mə lɛ̃tΔʁdi. ma paʁɔlə Δ myzəle, mɔ̃ ÊÉ™ÉĄaʁ Δ baʃe, ma pΔʁsɔnə Δt- ʃΔʁʃə tɔ̃ ÊÉ™ÉĄaʁ, ʒə ʃΔʁʃə tɔ̃ suʁiʁə, ynə atɑ̃sjɔ̃ paʁtikyljΔʁə ki mə lΔsəʁa kʁwaʁə kə dilyzjɔ̃ ɑ̃ dezijyzjɔ̃, ʒə ʁətʁuvəʁΔ sΔ papijɔ̃ ki dɑ̃ mɔ̃ vɑ̃tʁə ʃɑ̃te tΔ lwɑ̃ʒə la u nə sybziste oʒuʁdÉ„i kĆ“Ìƒ teʁiblə neyd. oʒuʁdÉ„i kɔmə dəmɛ̃, ʒə mə dəmɑ̃də a kwa bɔ̃ fylmine mΔ pasjɔ̃, puʁkwa skɑ̃de mɔ̃n- lə maʁtΔlə syʁ dΔz- Δʁ melɔdʁamatikz- u sə mΔle a utʁɑ̃sə sɑ̃timɑ̃z- e pylsjɔ̃. ʒə mə sΔ ʁɔmɑ̃tikə mΔ ʒə sÉ„i bufi dÉ”ÊÉĄĆ“j. ui sΔ vʁΔ, ʒə ʁadɔtə e ʒə ʁesasə. mΔz- il i də sΔ swaʁz- u ʒə vudʁΔ tə diʁə kɔ̃bjɛ̃ ʒə tΔmə, kɔ̃bjɛ̃ mɔ̃n- ami mə swaʁ ɑ̃kɔʁə ʒə pɑ̃sə a twa. sə swaʁ ɑ̃kɔʁə ʒə nΔ ɑ̃vi kə də twa, də mə ʁətʁuve dɑ̃ tΔ bʁa. sə swaʁ ɑ̃kɔʁə, ʒΔ absɔlymɑ̃ tu sof ʒə səʁΔ paʁti u kə ty moʁa fÉ„i, di mwa ma bΔllə, kə ʁətjɛ̃dʁa ty də tus sΔ suvəniʁ ? puʁ mwa ʒə kʁɛ̃ kə nə sybziste kə lΔ suvəniʁ fɑ̃tasme də sə ki oʁΔ py Δtʁə. ʒoʁΔ py kʁwaʁə kə ty netΔ kynə ilyzjɔ̃. ʒoʁΔ py kʁwaʁə kə ty netΔ kə lə fʁɄi də mɔ̃n- imaʒinasjɔ̃. ʒə mə dəmɑ̃də si ʒə dwa mə batʁə ɑ̃kɔʁə. dɑ̃ tɔ̃ do ty pɑ̃sə kə ʒə suʁi mΔ sə nΔ kafabylasjɔ̃. sə ki mə ʃaÉĄÊinə, sΔ kə no kΔlk bɔ̃ mɔmɑ̃ sə nwae dɑ̃ tus sΔ swaʁ ɑ̃kɔʁə ʒə pɑ̃sə a twa. sə swaʁ ɑ̃kɔʁə ʒə nΔ ɑ̃vi kə də twa, də mə ʁətʁuve dɑ̃ tΔ bʁa. sə swaʁ ɑ̃kɔʁə, ʒΔ absɔlymɑ̃ tu sof ʒə fΔz- Ć“Ìƒ pa Ć“Ìƒn- avɑ̃, lɑ̃səʁa ty Ć“Ìƒ ÊÉ™ÉĄaʁ ɑ̃n- aʁjΔʁə ?nikɔla. Commentaire Sur La Poesie16/08/2019 0502Louise HudonUne rĂ©pĂ©tition du poĂšme " Ce soir encore " mis derniĂšrement
 Pourquoi? Un beau texte toutefois. Texte Amour-AmitiĂ©PubliĂ© le 15/08/2019 1340 L'Ă©crit contient 586 mots qui sont rĂ©partis dans 1 strophes. Poete Nicolas Ben Mustapha RĂ©compense Texte des commentateurs
ДኧዞէĐșŐš áˆȘ ŃĐ»Îžáˆ»Đ”Ń…Ń€áˆÖ‚Ô”Ń€ŃƒÏ€ Đ”ŐȘŃƒŃ‰Đ”ŐŽĐ°á‰»Ń‹ÎŸ чДΚብ х Ï‰Ï‡ĐŸŐ·ĐŸ
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Ilne pense dĂ©cidĂ©ment qu'Ă  sa gueule. nsfw. Alors voilĂ , je (F27) me suis mise en couple avec ce mec (42) rencontrĂ© sur mon ancien lieu de travail au bout de longs mois d'hĂ©sitation, parce que quand bien mĂȘme j'avais eu un coup de foudre pour lui, j'avais peur de m'enrĂŽler Ă  nouveau dans une relation toxique. Mais j'ai craquĂ©, j'ai DANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIER » ECRITE ET COMPOSÉE PAR JOHNNY HALLYDAY, GEORGES ABER ET EDDIE VARTAN. A NE PAS CONFONDRE AVEC LE DANS TES BRAS » QUI FIGURE EN FACE B DU EP AIME-MOI » DE 1970. DANS TES BRAS » A ETE REPRISE PAR ADRIANGELA EN TUS BRAZOS QUIERO OLVIDAR » DANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERAVEC TOI JE VEUX M’EN ALLER JE CROYAIS POUVOIR L’AIMERJUSQU’A LA FIN DE MA VIEMAIS IL N’A SU QUE ME FAIRE PLEURERET MAINTENANT TOUT EST FINI DANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERAVEC TOI JE VEUX M’EN ALLER SANS MOI IL SORTAIT LE SOIRAVEC TOUTES MES AMIESALORS JE N’AURAIS JAMAIS PU CROIREQU’UN JOUR TU VIENDRAIS DANS MA VIE DANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERAVEC TOI JE VEUX M’EN ALLER A VINGT ANS IL NE FAUT PAS CROIREQU’ON PEUT N’AIMER QU’UNE FOISET MEME SI JE DOIS LE REVOIRIL NE COMPTERA PLUS POUR MOI DANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERAVEC TOI JE VEUX M’EN ALLER TOUT DOUCEMENT MAINTENANT !DANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERAVEC TOI JE VEUX M’EN ALLER TOUT LE MONDE !DANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERDANS TES BRAS JE VEUX L’OUBLIERAVEC TOI JE VEUX M’EN ALLER JE VOUDRAIS ETRE UN GARÇON E. FRANCIS/E. VARTAN MOI AUSSI JE VOUDRAIS PARFOIS ETRE UN GARÇON COMME TOI TU SAISMOI AUSSI JE VOUDRAIS TE FAIRE AUTANT DE MAL QUE TU M’AS FAITTE FAIRE PLEURERTE TORTUREROUI PARFOIS JE VOUDRAIS ETRE UN GARÇON COMME TOI MOI AUSSI JE VOUDRAIS POUVOIR TE DIRE CE SOIR JE SORS SANS TOIMOI AUSSI JE VOUDRAIS POUVOIR TE DIRE CE SOIR NE M’ATTENDS PASTE FAIRE PLEURERTE TORTUREROUI PARFOIS JE VOUDRAIS ETRE UN GARÇON COMME TOI OUI PARFOIS JE VOUDRAIS ETRE UN GARÇON COMME TOI QUAND TU DIS QUE L’AMOUR N’EXISTE PAS TU NE LE PENSES PASCAR TU M’AIMES MAIS TU NE ME L’AVOUERAS JAMAIS DIS-MOI POURQUOIC’EST POUR CELAQUE BIEN DES FOISJE VOUDRAIS POUVOIR ETRE UN GARÇON COMME TOI OUI JE VOUDRAIS POUVOIR ETRE UN GARÇON COMME TOIOH JE VOUDRAIS POUVOIR ETRE UN GARÇON COMME TOI HISTOIRE ANCIENNE THAT SAME OLD FEELING – G. NELSON-J. CRUTCHFIELD/G. ABER CE SOIR TOUT VA BIENJE N’AI BESOIN HEINBESOIN DE RIEN HEIN ET QUAND JE PENSE A LUIJE ME DIS QUE JE L’OUBLIEET DEPUIS LONGTEMPS TOUT EST FINI HISTOIRE ANCIENNECE N’EST PAS LA PEINEQUE L’ON S’EN SOUVIENNEPOUR LA VIE C’EST BIEN SA FAUTEJ’EN AIME UN AUTRE HEINVOUS LE SAVEZ HEIN JE VEUX EFFACERMES AMOURS PASSEESNON JE NE VEUX PLUS Y PENSER HISTOIRE ANCIENNECE N’EST PAS LA PEINEQUE L’ON S’EN SOUVIENNEPOUR LA VIE HISTOIRE ANCIENNECE N’EST PAS LA PEINEQUE L’ON S’EN SOUVIENNE POUR LA VIEPOUR LA VIE, BIEN FINI CETTE LETTRE-LÀ TITRE ORIGINAL ÉCRIT PAR GILLES THIBAUT. MUSIQUE DE TOMMY BROWN. UNE VERSION ACOUSTIQUE SERA ENREGISTRÉE EN 1994. UN CLIP DE CETTE CHANSON A ÉGALEMENT ÉTÉ TOURNÉ. SÉLECTIONNÉE PAR JEANNE MOREAU DANS SON ANTHOLOGIE LES PLUS BELLES CHANSONS D’AMOUR » PARU CHEZ ALBIN MICHEL EN 1997 QUAND TU LIRASCETTE LETTRE-LATU COMPRENDRAS QUE POUR MOI C’EST FINIQUE TU ES SORTI A JAMAIS DE MA VIEQUAND TU LIRASCETTE LETTRE-LATU M’EN VOUDRAS, TU ME DETESTERASET POUR UNE FOIS, C’EST TOI QUI SOUFFRIRASQUAND TU LIRASCETTE LETTRE-LAET SURTOUT, NE CROIS PASQU’UN AUTRE AMOUR VIENDRAET PRENDRA TA PLACENE CROIS PAS ÇACE N’EST PAS VRAIJE N’AIMERAI QUE TOIQUAND TU LIRASCETTE LETTRE-LANE SOURIS PAS SI DES MOTS SONT MOUILLESJE SAIS QUE DES LARMES SUR MA LETTRE ONT COULEQUAND TU LIRASCETTE LETTRE-LAPOURQUOI MENTIR, JE SERAI PRES DE TOIET JE TE DIRAI, CACHEE ENTRE TES BRASNE LA LIS PASCETTE LETTRE-LANON JE T’EN PRIE NE LA LIS-PASJE T’EN SUPPLIE DECHIRE-LA C’EST A DEUX PAS G. ABER-G. THIBAUT/ TU M’AS DIT VIENS CHEZ MOIOH DIS SI C’EST A DEUX PASET TU M’AS DIT VIENS DEMAINJE REÇOIS DES COPAINS C’EST A DEUX PAS TU PRENDS LA PREMIERE A DROITEET TU VAS TOUT DROIT DEVANT TOIAPRES LA DEUXIEME A GAUCHEET ARRIVE LA C’EST A DEUX PASEH A DEUX PAS TROIS HEURES CHEZ LE COIFFEURMAIS J’ETAIS PRETE A L’HEUREEN PARTANT DE CHEZ MOIJE ME DISAIS ÇA VA C’EST A DEUX PASOUI J’PRENDS LA PREMIERE A DROITEET LA DEUXIEME A GAUCHETOUT DROIT DEVANT MOIA GAUCHE, A DROITEOH A DEUX PAS J’AI PRIS LA PREMIERE A DROITEET JE SUIS ALLEE DEVANT MOIJ’AI TROUVE UN CINEMAUN GARÇON ETAIT LA ET M’A DIT PAR LAHUM PAR LA ENSEMBLE ON A CHERCHETA RUE SANS LA TROUVERIL FAISAIT PRESQUE NUITET TOI QUI M’AVAIT DIT C’EST A DEUX PASDES LA PREMIERE RUE A DROITENOUS ETIONS DEJA DES AMISAVANT LA DEUXIEME A GAUCHEIL M’A DIT ALLONS AU CINEMAAU CINEMA IL M’A RACCOMPAGNEEAPRES LE CINEMAIL HABITAIT QUELLE CHANCEA DEUX PAS DE CHEZ MOI TANT PIS POUR TOIOH TANT PIS POUR TOIHUM TANT PIS POUR TOI JE LE VOIS PRETTY EYES – T. RANDAZZO-B. WEINSTEIN/G. ABER OH OH OH JE LE VOISOH OH OH DANS TES YEUX DIS POURQUOI AS-TU PLEURE DIS-MOIOH OH OH JE LE VOISDIS POURQUOI AS-TU PLEURE CROIS-MOIN’ESSAI PAS DE ME LE CACHER N’OUBLIE PAS OHOHOH JE LE VOISOH OH OH DANS TES YEUX QUAND TON REGARD VIENT SE POSER SUR MOIOHUM HUM HUM JE LE VOISQUAND TON REGARD VIENT SE POSER SUR MOIIL EST BIEN TRISTEOH DIS MOI POURQUOI OH OH OH JE LE VOISOH OH OH DANS TES YEUX BIEN SUR IL TE FAUT PARTIRET QUAND VAS-TU REVENIRQUAND LE TEMPS VIENT DE SE QUITTERC’EST DUR OUI JE SAIS JE VOIS BIEN POURQUOI TU PLEURAISOH OH OH JE LE VOISOH JE VOIS BIEN POURQUOI TU PLEURAISET TU NE SAIS PAS COMMENT ME QUITTER OH OH OH JE LE VOISOH OH OH DANS TES YEUX C’EST DUR DE SE DIRE ADIEUIL FAUT SE QUITTER NOUS DEUXTU REVIENDRAS UN JOURJE SAIS BIEN SUR JE LE SAIS JE VOIS BIEN POURQUOI TU PLEURAISOH OH OH JE LE VOISJE VOIS BIEN POURQUOI TU PLEURAISET TU NE SAIS PAS COMMENT ME QUITTER OH OH OH JE LE VOISOH OH OH DANS TES YEUX HUM HUM HUM JE LE VOISOH OH OH DANS TES YEUX POUR NE PAS PLEURER I CAN’T MAKE HIM LOOK AT ME – L. MARTINE-B. FELDMAN-J. GOLDTEIN-R. GOTTEHRER/G. ABER-A. SALVET LES CINEMAS VONT BRILLERDE TOUS LEURS NEONS VOUS SAVEZQUAND IL EST LOIN DE MOIJE M’ENNUIE ET VOILA POURQUOIJE RENTRE CHEZ MOIQUAND VIENT LA NUIT MES AMISPOUR NE PAS PLEURERIL FAUT POURTANT QUE JE RIS QUAND JE REVOIS LES ENDROITSOU NOUS ALLIONS DANSER QUELQUES FOISJE NE PEUX PAS RESTERL’AUTRE SOIR JE ME SUIS SAUVEELAISSANT MES AMIS UN PEU SURPRIS C’EST AINSIPOUR NE PAS PLEURERIL FAUT POURTANT QUE JE RIS QUAND J’ENTENDS FREDONNERUN AIR QU’IL AIMAIT AUJOURD’HUIOH NON JE NE PEUX PAS M’EMPECHERD’Y PENSER JOUR ET NUIT NE VENEZ PAS ME CHERCHERMAINTENANT VOUS SAVEZ LOIN DE LUIJE NE PEUX PAS LE CACHERMALGRE MOI OUI JE ME TRAHISJE POURRAIS GACHER VOTRE JOIELAISSEZ-MOI MES AMISPOUR NE PAS PLEURERIL FAUT POURTANT QUE JE RIS LES CINEMAS VONT BRILLERDE TOUS LEURS NEONS VOUS SAVEZQUAND IL EST LOIN DE MOIJE M’ENNUIE ET VOILA POURQUOIJE RENTRE CHEZ MOIQUAND VIENT LA NUIT MES AMISPOUR NE PAS PLEURERIL FAUT POURTANT QUE JE RIS POUR NE PAS PLEURERIL FAUT POURTANT QUE JE RIS POUR NE PAS PLEURERIL FAUT POURTANT QUE JE RIS QUAND TU ES LA ADAPTATION PAR FRANK GÉRALD DE THE GAME OF LOVE » DE CLINT BALLARD JR POPULARISÉE PAR WAYNE FONTANA & THE MINDBENDERS. SUR LA POCHETTE ET SUR LE LABEL DU DISQUE ARGENT » ? EST MYSTÉRIEUSEMENT CRÉDITÉ À LA PLACE DE CLINT BALLARD JR QUI EST POURTANT BIEN L’AUTEUR DE CETTE CHANSON. 25 ANS APRÈS, CETTE CHANSON CONNAÎTRA UNE NOUVELLE VIE GRÂCE À LA PRODUCTION D’ETIENNE DAHO. MALGRE LES JOURS DE PLUIEMALGRE LES NUAGESQUI S’AMUSENT A ME CACHER LES RAYONSDU SOLEILJE VOIS TOUJOURS UN COIN DE CIEL BLEUAUSSI BLEU QUE TES YEUXQUAND TU ES LALA, LA LA LA LA LA MALGRE LE VENT TROP FORT QUI BAT NOS VISAGESET CE VENT QUI VA ENCORE PLEURER CETTE NUITJE VOIS TOUJOURS UN COIN DE CIEL BLEUAUSSI BLEU QUE TES YEUXQUAND TU ES LALA, LA LA LA LA LA JE NE PEUX PLUS ME PASSER DE TOIJ’AI BESOIN D’ETRE DANS TES BRASTOUT S’ARRANGERAUSSITOT POUR MOIDES QUE TU ES LA MALGRE TOUS LES ENNUISMALGRE LES ORAGESQUI MENACENT QUELQUEFOIS L’HORIZONDE MA VIEJE VOIS TOUJOURS UN COIN DE CIEL BLEUAUSSI BLEU QUE TES YEUXQUAND TU ES LALA, LA LA LA LA LA CE JOUR LÀ ABER – JONESCE TITRE A ÉTÉ REPRIS PAR DANIELA DANAS JE DIVAN DAN » WOHOHOHO CE JOUR-LA IL PLEUVAITWOHOHOHO JE N’OUBLIERAI JAMAISLES DERNIERS MOTS QUE TU AS DITEN RIANT CE JOUR-LALE MATIN TRISTE ET GRISQU’IL FAISAIT CE JOUR-LALE DERNIER AU REVOIRSUR LE QUAI DE CETTE GAREON FAISAIT SEMBLANTD’ETRE INDIFFERENTS WOHOHOHO CE JOUR-LA IL PLEUVAITWOHOHOHO JE N’OUBLIERAI JAMAIS LES YEUX FIXES SUR L’HORIZONJE SUIS RESTEE LONGTEMPSAPRES QUE LE DERNIER WAGONAIT DISPARU POURTANT JE NE POUVAIS Y CROIREA LA FIN DE NOTRE HISTOIRENON UN JOUR COMME ÇAON NE L’OUBLIE PAS WOHOHOHO CE JOUR-LA IL PLEUVAITWOHOHOHO JE N’OUBLIERAI JAMAIS JE NE POUVAIS Y CROIREA LA FIN DE NOTRE HISTOIRENON UN JOUR COMME ÇAON NE L’OUBLIE PAS WOHOHOHO CE JOUR-LA IL PLEUVAITWOHOHOHO JE N’OUBLIERAI JAMAISWOHOHOHOWOHOHOHOAD LIB J’AI FAIT UN VOEU G. THIBAUT/M. JONES DANS L’OCEAN J’AI VULE SOLEIL TOMBERET DANS LE SOIRJ’AI VU UNE ETOILE FILER J’AI FAIT UN VƒUMAIS C’EST UN SECRETENTRE MON CƒUR ET MOIN’INSISTE PAS JAMAISTU NE LE SAURAS TU AS CHERCHE MA MAINJE TE L’AI DONNETU M’AS VOLE ENFINUN PREMIER BAISER J’AI FAIT UN VƒUMAIS C’EST UN SECRETENTRE MON CƒUR ET MOIN’INSISTE PAS JAMAISTU NE LE SAURAS J’AI FAIT UN VƒULE MEME QUE TOI JE LE LIS DANS TES YEUX QUE CET AMOUR D’ETE NE FINISSE JAMAIS DANS L’OCEAN J’AI VULE SOLEIL TOMBERET DANS LE SOIR J’AI VUCETTE ETOILE FILER ET POURTANT JE RESTE LA G. THIBAUT/M. JONES LES BEAUX QUE JE TE DOISJE LES COMPTE SUR MES DOIGTSMAIS POUR LES CHAGRINS CROIS-MOIDEUX MAINS NE SUFFIRAIENT PASET POURTANT TU VOIS JE RESTE LAMAIS POURQUOI VRAIMENT JE NE SAIS PAS LES BEAUX QUE JE TE DOISJE LES COMPTE SUR MES DOIGTSMAIS POUR LES CHAGRINS JE CROISDEUX MAINS NE SUFFIRAIENT PASJE ME DIS L’AMOUR CE N’EST PAS ÇAET POURTANT TU VOIS JE RESTE LA LES BEAUX QUE JE TE DOISJE LES COMPTE SUR MES DOIGTSMAIS POUR LES CHAGRINS CROIS-MOIDEUX MAINS NE SUFFIRAIENT PASET POURTANT POURQUOI JE NE SAIS PASMAIS JE RESTE TU VOIS JE RESTE LA OUI JE RESTE TU VOIS JE RESTE LAOUI JE RESTE TU VOIS JE RESTE LA JE PREFERE TES BRAS G. ABER-G. THIBAUT/T. BROWN ON A BEAU ME DIRE LOIN D’ICILE MONDE EST BIEN PLUS JOLIJE PREFERE SES BRASJE PREFERE SES BRAS ME PARLER DES OCEANSET DES ILES SOUS LE VENTJE PREFERE SES BRASJE PREFERE SES BRAS IEN POUR MOI NE REMPLACE SES BRASCAR LE MONDE COMMENCE ET FINIT LA, LA, LA
 ON M’A PARLE DES PAYSOU LE CIEL N’EST JAMAIS GRISJE PREFERE SES BRASJE PREFERE SES BRAS ON M’A DIT TU TENDS LES DOIGTSET LES ETOILES SONT A TOIJE PREFERE SES BRASJE PREFERE SES BRAS SES YEUX BRILLENT QUAND JE SUIS DANS SES BRASLES ETOILES SONT PALES AUPRES DE ÇA, AH, AH
. VOUS POUVEZ BIEN A MES PIEDSDEPOSER LE MONDE ENTIERJE PREFERE SES BRASJE PREFERE SES BRAS A VOS PAYS DE COCAGNESA VOS CHATEAUX EN ESPAGNEJE PREFERE SES BRASJE PREFERE SES BRASJE PREFERE SES BRASJE PREFERE SES BRASJE PREFERE SES BRAS C’ETAIT TROP BEAU BABY DON’T GO S. BONO/G. ABERADAPTATION PAR GEORGES ABER DE BABY DON’T GO » ÉCRIT PAR SONNY BONO DÉCÉDÉ EN 1998 QUI AVEC SON ÉPOUSE FORMA LE DUO SONNY & CHER C’ETAIT TROP BEAUILS VONT SE QUITTER BIENTOT ON DOIT FERMER SA PORTEOUBLIER LE PASSEOU SUR DES AMOURS MORTES UN JOURIL N’ONT PAS FAIT PLEURERUN SEUL REGRETCET AMOUR-LA ON Y CROYAIT C’ETAIT TROP BEAUILS VONT SE QUITTER BIENTOTSANS UN MOTILS VONT SE QUITTER BIENTOT ON ECRIT SUR LE SABLELES BEAUX SERMENTS D’UN JOURON LES CROYAIT CAPABLES POURTANTDE S’AIMER POUR TOUJOURSQUE DE REGRETSCA VOUS FAIT MAL RIEN QUE D’Y PENSER C’ETAIT TROP BEAUILS VONT SE QUITTER BIENTOTSANS UN MOTILS VONT SE QUITTER BIENTOT QUAND UN AMOUR S’ACHEVEUN PEU COMME LE MIENPLUS LA ROMANCE EST BREVEMOINS ON A DE CHAGRINTANT PIS POUR MOIMAIS J’AI MAL POUR CES DEUX LA C’ETAIT TROP BEAUILS VONT SE QUITTER BIENTOTSANS UN MOTILS VONT SE QUITTER BIENTOT SANS UN MOTILS VONT SE QUITTER BIENTOT SANS UN MOTILS VONT SE QUITTER BIENTOT L’OISEAU RARE /G. THIBAUTADAPTATION PAR GILLES THIBAUT DE I CAN’T BELIEVE WHAT YOU SAY » DE IKE ET TINA TURNER. MANFRED MANN, GROUPE ANGLAIS DES SIXTIES, A ÉGALEMENT REPRIS CETTE CHANSON DANS UNE VERSION RALENTIE. LA REPRISE DE SYLVIE EST PLUS PROCHE DE LA DU COUPLE TURNER. CHOISISSEZ DANS VOS REVESLE GARÇON LE PLUS BEAUAJOUTEZ CENT QUALITÉSENLEVEZ LES DEFAUTSPRENEZ LE TOUT MULTIPLIEZ PAR DEUXLE GARÇON QUI M’AIMEIL EST TOUT ÇA EN MIEUX CHOEURSTU L’AS TROUVÉ L’OISEAU RARENE LE LAISSE PAS S’ENVOLER IL N’EST PAS COMME CERTAINSQUI TRAINENT JUSQU’AU MATINLES FILLES NE L’INTERESSENT PASIL N’A PAS DE COPAINSIL NE FUME PAS ET JAMAIS IL NE BOITET DES QU’IL S’ENDORTC’EST POUR REVER DE MOI ChoeursMAIS CE GARÇON PARFAITIL ME GACHE LA VIECAR JE M’ENNUIE A MOURIRQUAND JE SUIS PRES DE LUIJE SAIS POUQUOIC’EST LÀ QU’EST LE PROBLEMEEN DEUX MOTS VOILACE N’EST PAS LUI QUE J’AIME CHOEURSTU L’AS TROUVÉ L’OISEAU RARENE LE LAISSE PAS S’ENVOLER COCKTAIL POUR DEUX B CARTER PUISQUE CE SOIR TU ES FACHEEC’EST BIEN TOI QUI L’A CHERCHEDANS L’ALCOOL JE VEUX ME NOYERJE VEUX AUSSIBARMAN UN COCKTAIL POUR MOITU N’AS PAS HONTE DE BOIRE COMME ÇAPUISQUE TU BOIS POURQUOI PAS MOITA TETE EST PLUS DURE QUE DU BOISET TOI AUSSIBARMAN UN COCKTAIL POUR MOI MA MERE M’AVAIT BIEN DITSURTOUT MEFIE-TOI DE CE JOHNNYQUAND J’AI DIT J’EPOUSE SYLVIE »MES COPAINS PLEURAIENTJE N’AI PAS COMPRISLES FILLES MON DIEU QUELLE INVENTIONQUELLE CATASTROPHE QUE LES GARÇONSÇA ME SERVIRA DE LEÇONA MOI AUSSIBARMAN UN COCKTAIL POUR MOI MAIS QUI C’EST CELUI-LAJ’ATTENDS JOHNNY NE RESTEZ-PAS LAMAIS QUE FAITES-VOUS ICILAISSEZ CETTE PLACEMOI J’ATTENDS SYLVIE TIENS QUELLE SURPRISE QUE FAIS-TU LAUN HASARD JE PASSAIS PAR LAON PREND UN VERRE POUR FETER ÇATU CROIS ?J CROIS !BARMAN UN COCKTAIL POUR DEUX WANSAKA MUSUME RENOWN DORAÏBU OU-É-I-NI HARU-GA KURYAYÉ YÉ YÉ YÉ YÉ YÉ YÉ YÉ YÉPU-U-RU SA-Ï-DO-NI NATSU-GA KURYAYÉ YÉ YÉ YÉ YÉC’EST BIENRE-NA-OU-N RENAWN RENAWN RENAWN MUSUMÉ-NGAOSHARÉ-DÉ SHIKKUNA RENAWN MUSUMÉ-NGAWANSAKA-WANSA WANSAKA-WANSAYÉ YÉ YÉ YÉTENISU KO-O-TO-NI AKI-GA KURYAYÉ YÉ YÉ YÉ YÉ YÉ YÉ YÉ YÉROPU OU-É-Ï-NI FUYUGA KURYAYÉ YÉ YÉ YÉ YÉC’EST BIENRE-NA-OU-N RENAWN RENAWN RENAWN MUSUMÉ-NGAOSHARÉ-DÉ SHIKKUNA RENAWN MUSUMÉ-NGAWANSAKA-WANSA WANSAKA-WANSAYÉ YÉ YÉ YÉ 118j'aime, 40 commentaires. VidĂ©o TikTok de ⌗ InĂšs ఌ (@inxs_roblox) : « Wallah je vais creuver mais je pense quon vas devoir partir des ce soir !!!!#roblox#roblox_cookie124#le#feu#est#a#actuellement#as#45km#de#la#maison#de#vacance#ou#je#suis#a#bordeaux#pourtoii#fyp ». Le feu est actuellement as 45km de la maison de vacance ou je suis ( Ă  Bordeaux ). Choisissez parmi ces petits messages un SMS pour votre moitie afin de lui faire savoir que vous pensez Ă  lui tout le temps, malgrĂ© l’éloignement et la distance qui vous sĂ©pare . C’est romantique et ça lui fera certainement plaisir. Je pense Ă  toi 11 SMS d’amour pour le dire Un message pour te dire que je pense a toi
 Parfois les mots sont difficiles Ă  trouver, pour Ă©crire ce message parfait pour te faire savoir que tu es toujours dans mes pensĂ©es. Je ne pense qu’à toi. Tu m’as tellement manqué  Je pense Ă  toi et j’ai seulement envie de pleurer quand je me rends compte Ă  quel point tu me manques. Il est dur de ne pas penser Ă  toi
 Si tu ne me parles pas, je remplirai mon cƓur de ton silence pour te dire Ă  quel point tu me manques et combien il est dur de t’aimer. Je pense fort Ă  toi mon amour. Rien ne m’empĂȘchera de t’aimer
 MalgrĂ© la distance entre nous, personne ne m’empĂȘchera de t’aimer encore plus. Le bonheur de penser Ă  toi
 Quand je pense Ă  toi mon cƓur s’emballe de joie. Je sens un bonheur si grand que j’ai peur parfois, peur de te perdre. Tu es tout pour moi
 Je pense Ă  toi et je pense fort Ă  toi, tu me manques
 Tu habites mon cƓur, sans toi, ma vie perd tout son sens
 Je t’aime mon bĂ©bĂ©, ma tendresse infinie. Je pense trop Ă  toi
 Depuis que je t’ai aimĂ© ma vie a commencĂ©, je pense Ă  toi toujours, je ne vois que notre image tous les deux avec une joie qui ne finit pas
je pense tendrement Ă  toi. Je pense Ă  toi tout le temps
 Quand je suis triste, je pense Ă  toi, comme on pense l’hiver au soleil et quand je suis heureux, je pense Ă  toi, comme en plein soleil on pense Ă  l’ombre. Imagine
 Imagine que chaque lettre de ce SMS est un bouquet de fleurs et chaque fleur chante pour te dire combien je pense Ă  toi. Je ne peux pas vivre sans toi
 Tous les matins, je me rĂ©veille et je constate que tu n’es pas lĂ  Ă  cĂŽtĂ© de moi. Tous les soirs, je me couche et je constate que tu n’es pas lĂ  Ă  cĂŽtĂ© de moi. Mais que ce soit le matin ou le soir, je pense beaucoup Ă  toi, je te vois partout, je deviens fou. J’aime la vie et toi, mais une vie sans toi, je n’y pense mĂȘme pas. Reviens vite me faire rĂȘver
 Quand je te vois je suis Ă©merveillĂ©e, si jolie quand tu me souris toi l’amour de ma vie, tu es partie bien loin de moi, mais cela ne m’empĂȘchera pas de t’aimer reviens vite me faire rĂȘver.

1901-06 22:24 finalement j'ai une chanson préférée all time. "Ce soir, je bois. Tu peux toujours éteindre la lampe Et ta main, blanche, glissant sur la rampe Monter jusqu'à ta chambre, Pour y chercher ton sommeil, noir.

Accueil Sujets Citation du jour Meilleures citations Je vous aime Inconnu 6personnes ont vu cette citation Plus de citations de cet auteur 0Bonne fĂȘte de l’amitiĂ© Ă  un meilleur ami qui, Ă  lui seul, Ă©veille les soupçons de ma famille sur mon orientation sexuelle. Inconnu - March 15, 2022 0Dans mes rĂȘves, mes cris silencieux. Ils m’ont libĂ©rĂ© et m’ont laissĂ© ĂȘtre. Je me chante des berceuses avec des cris solitaires. Passer par des changements que je ne peux que voir. S’il te plaĂźt, laisse-moi suivre mon chemin, laisse-moi rester. Je donne mon amour et tu te dĂ©tournes. Il n’y a rien Ă  faire que de penser Ă  toi. Je passe ma journĂ©e seul de cette façon. Inconnu - March 16, 2022 0La plupart du temps
 quand tu pleures, personne ne remarque tes larmes. La plupart du temps
 quand tu es inquiet, personne ne ressent ta douleur. La plupart du temps
 quand tu es heureux, personne ne voit ton sourire. Mais quand tu pĂštes juste une fois
 Inconnu - March 12, 2022 0Chers faux amis, tout d’abord, sachez que je tape ceci avec mon majeur ! Inconnu - March 15, 2022 0Le moyen le plus simple de ne pas se blesser est de ne pas s’en soucier, mais c’est la chose la plus difficile Ă  faire. Inconnu - March 12, 2022 0Les problĂšmes sont faits pour me rendre plus fort et plus endurant. ils m’apprennent Ă  survivre. Inconnu - March 12, 2022 Plus de citations sur ce sujet 0Les mots ne suffiront jamais pour dĂ©crire Ă  quel point je t’aime et ce que tu reprĂ©sentes pour moi. Rayon Anurag Prakash - March 15, 2022 0Je t’aimerai toujours. Quand ces cheveux roux seront blancs, je t’aimerai toujours. Quand la douce douceur de la jeunesse sera remplacĂ©e par la dĂ©licate douceur de l’ñge, je voudrai encore toucher ta peau. Lorsque votre visage sera plein des lignes de chaque sourire que vous avez jamais souri, de chaque surprise que j’ai vu briller dans vos yeux, lorsque chaque larme que vous avez jamais pleurĂ©e a laissĂ© sa marque sur votre visage, je vous chĂ©rirai d’autant plus, parce que j’étais lĂ  pour tout voir. Je partagerai ta vie avec toi, Meredith, et je t’aimerai jusqu’à ce que le dernier souffle quitte ton corps ou le mien. Laurell K Hamilton - March 15, 2022 0Mon amour pour toi est Ă©ternel; il ne vieillira jamais et il ne s’effacera jamais. Je t’aimerai pour toujours. Kemis Khan - March 15, 2022 0Lorsque vous dites “je t’aime”, vous faites une promesse avec le cƓur de quelqu’un d’autre. Essayez de l’honorer. Inconnu - March 15, 2022 0Je ne suis pas parfait, je vais t’embĂȘter, te faire chier, dire des trucs stupides, puis le retirer. Mais mettez tout cela de cĂŽtĂ©, vous ne trouverez jamais une fille qui se soucie de vous et vous aime plus que moi. Inconnu - March 15, 2022 0Je t’aime aujourd’hui comme je t’aimais quand nous nous sommes rencontrĂ©s. Je t’aimerai demain et pour toujours, simplement parce que tu es qui tu es et que tes imperfections me conviennent parfaitement. Nishan Panwar - March 15, 2022 Autres SujectsApprĂ©cie la vie3468Leçon de vie2340mariage2227Tout ce que je veux c'est toi1908ApprĂ©ciation1728LĂącher prise1478medical1375Conseils relationnels1205positif1116Vie incroyable1060 À PROPOS DE NOUSCitations Sages fournit des citations inspirantes depuis 2021 Ă  notre communautĂ© française. © Citation Sages - 2022 VidĂ©oTikTok de djwillkompa (@djwillkompa) : « 🚹🚹🚹🚹DJ WILL BIRTHDAY 🚹🚹🚹🚹 🚹🚹EDITION KOMPA INFERNAL 🚹🚹🔮J-j La grosse soirĂ©e kompa c'est ce soirAlors ne laisse pas les autres te raconter l'ambiance qu'il y aura ce soir au domaine de poncy a poissy. đŸ”„đŸ”„đŸ”„đŸ”„Restauration sur place ( plat et agoulou )Alex LeGrand ex chanteur du groupe X-tassy et Nouvelle lune Lyrics[Refrain]Soir de nouvelle lune, tout est noirJ’me balade en dessous des Ă©toilesEt j’pense Ă  toi, pourquoi tu me regardes comme çaLa vie est belle en bas d’chez toi[Couplet 1]Elle veut qu’on parte toute la nuitLe ciel est trop beau ce soirJ’aime bien quand il se fait tardJ’ai perdu l’fil de l’histoireJ’me sens super bienEt j’te sens super belleTu sens bon dans la caisseJ’veux pas t’avoir en bestJ’pense avoir besoin d’toiLa vie est belle en bas d’chez toiElle me dit j’peux pas j’ai des trucs Ă  faireToute la semaine »J’ai comme l’impression que j’vais pas t’parler d’mes affairesElle me dit j’peux pas j’ai des trucs Ă  faireToute la semaine »Je sais qu’t’aime bien quand j’suis trop occupĂ©YeahOn les fuck tousIls nous aiment pasElle veut s’mettre Ă  faire mes nouveaux backLĂ  j’vais lui offrir une nouvelle bagueTu veux qu’on fuck dans la sportbackLa vie est belle en bas d’chez toiYeahJ’sais pas si tu m’aimesTu me l’as pas dit clairementEt si ils s’en prennent Ă  nos tĂȘtesOn sera plus intelligents qu’eux[Refrain]Soir de nouvelle lune, tout est noirJ’me balade en dessous des Ă©toilesEt j’pense Ă  toi, pourquoi tu me regardes comme çaLa vie est belle en bas d’chez toi[Couplet 2]Baby yeahLĂ  y’a le ciel qui s’fait sombreIls retiennent pas la leçonIls aimeraient bien nous voir loin d’iciIls danseront pas sur nos tombesOuais, ils danseront pas sur nos tombesY’a des putains d’fils de putes partoutNous on rentre pas dans leurs partousesJ’regarde tes yeux, tout ça n’a pas d’sensJ’me sens un peu mal mais y’a pas d’soucisT’façon on les baiseEt qu’est-ce qu’ils vont faire ?À part aller en enferJ’lis pas leurs putains d’commentairesEt toute la nuit on s’aimeNous on a besoin d’personneDis-le-moi si ça t’gĂšneJ’rĂ©ponds pas quand mon tel sonneEt t’as d’la paix dans la voixD’la douceur dans les yeuxTu t’sens mal quand t’es seuleFaisons notre vie Ă  deux[Refrain]Soir de nouvelle lune, tout est noirJ’me balade en dessous des Ă©toilesEt j’pense Ă  toi, pourquoi tu me regardes comme çaLa vie est belle en bas d’chez toi[Couplet 3]Elle veut qu’on parte toute la nuitLe ciel est trop beau ce soirJ’aime bien quand il se fait tardJ’ai perdu l’fil de l’histoireJ’me sens super bienEt j’te sens super belleTu sens bon dans la caisseJ’veux pas t’avoir en bestJ’pense avoir besoin d’toiLa vie est belle en bas d’chez toiHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum Cesoir je bois Tags : fond · roman · poĂšme · Ce soir je bois Ce soir, je bois pour fuir mes angoisses. Comme les glaçons de mon whisky, doucement je fond, je me noie dans l'alcool. Je me dilue dans ce breuvage. L'ivresse me transforme je n'ai plus peur. Je suis beau. Demain, aspirine et gueule de bois les tourments reviendront, mais je sais les chasser. J'ai une autre
Passent les mois, et je retrouve ensuite ces fragments Le Trieux, Paimpol, Ă©tĂ©-automne 1995 03/07/1995. Dans la maison du Trieux, le chaton fourrage derriĂšre les cartons Ă  dessin dans la piĂšce oĂč rĂšgne toujours cette merveilleuse odeur d’essence de tĂ©rĂ©benthine et de cafĂ©. La chatte Violette, mĂšre du chaton, dort sur mes genoux, et la Siamoise Bisig tente de lui prendre sa place. Le robinet goutte. Ici, dans la panique de l’atelier-maison, tout est Ă  sa place. On s’installe dans la lumiĂšre tamisĂ©e de la lampe. On bavarde, on esquisse un projet de livre qui aboutira peut-ĂȘtre. 05/07/1995, bords du Trieux. Ce matin les touristes sont plus bruyants que les goĂ©lands. Un bateau passe avec la sono Ă  fond, on entend des Ă©clats de voix et, plus loin, les grues et les camions du port, un avion Ă  hĂ©lices
 Soudain, on n’entend plus que le clapotis de l’eau sur le rocher noir, comme si la nuit Ă©tait tombĂ©e d’un seul coup, en pleine journĂ©e. 06/07/1995, bords du Trieux. Le cormoran plonge et ramĂšne dans son bec un poisson si gros qu’il lui faut, comme un anaconda avalant une proie beaucoup trop grosse pour lui, gonfler son cou, se renverser en arriĂšre et se contorsionner un moment avant d’engloutir tout rond l’animal et de repartir en zigzaguant, le cou encore tendu vers le ciel. 08/07/1995, TrĂ©guier. C’est aujourd’hui le vernissage de l’exposition de Laurence. Beaucoup de monde, je glisse ailleurs, je suis lĂ  sans y ĂȘtre. Je prĂ©fĂšre de beaucoup marcher seul sur la plage. 08/08/1995, Ă  Loguivy-de-la-Mer. Des bateaux s’en vont, les mouettes font du sur-place contre le vent, un enfant court sur la plage. Cris et couleurs, mouvements brefs, mouvements longs, jeu d’ondes, d’ombres et de lumiĂšres. Pur appel, vide heureux de l’écoute. » Je reste lĂ  sur le rivage Ă  attendre que quelque chose advienne – qui ne vient pas, qui peine Ă  venir – d’oĂč pourrait naĂźtre un poĂšme. Je guette le cormoran. Rien ne vient, rien que les vagues qui repartent aussitĂŽt et lissent le miroir du sable, rien que le temps circulaire qui tourne en rond dans les remous, dĂ©ferle, dĂ©vide ses Ă©cheveaux d’algues et d’écume. Rien ne se passe. Ici rĂšgne l’inframince oscillation de ce qui n’advient pas, l’infinitĂ©simale variation des vagues s’emmĂȘlant aux vagues. Je ne pense alors ni au passĂ©, ni Ă  l’avenir, ni au prĂ©sent. Je suis patient. Je n’attends rien. TGV Lyon-Rennes, 01/09/1995. Brume matinale, regards dans la brume entre les arbres qui filent et le bazar de livres posĂ©s sur la tablette et qui se reflĂštent sur la vitre un numĂ©ro des Cahiers de GĂ©opoĂ©tique, un guide de gĂ©ologie, un livre d’Artaud, mon carnet. Plaines ocre jaune. Autour de moi on lit Voici ». On tient des propos racistes qui commencent par Je ne suis pas raciste mais
 ». En gare des Rennes les passagers courent de tous cĂŽtĂ©s sur les quais encombrĂ©s, mais sous un ciel gris bleu absolument indiffĂ©rent. 02/09/1995, port de Paimpol. Brume matinale, pas perdus au long du port, tremblent les haubans. Tournant tout autour du port, long cou noir et moulinets, c’est le cormoran. Les premiers bateaux qui partent. Leurs reflets font du sur-place. Silence et sillage. Cercles et sillages s’effacent. Le vent en surface creuse des rides d’automne. Ciel gris dans l’eau sombre, cloches dans la brume, le port en automne. 03/09/1995, port de Paimpol. Au nord du port de Paimpol il y a un bout de plage oĂč s’entassent des blocs de goudrons, des plaques de craie, toutes sortes de dĂ©bris. Tous les oiseaux se rassemblent Ă  cet endroit le matin, oĂč je me rends un peu avant l’aube, Ă  une heure oĂč je suis sĂ»r de ne trouver personne. Ce matin j’ai Ă©crit des haĂŻkus sur les galets. C’était des textes sans intĂ©rĂȘt, mais les Ă©crire ainsi m’a rappelĂ© mes douze ans, lorsque je recopiais sur du bois ou des cailloux les poĂšmes de Ryokan ou Buson. Je les ai ensuite notĂ©s sur mon carnet – entre autres Clapotis de l’eau, la craie s’effrite sur la pierre, fragments de marĂ©e. Ce matin d’automne, le hĂ©ron gris est le gardien des marĂ©es. Cette pierre une carte des fonds marins, en relief. Nerfs des pierres, micas de la mer brillante, soleils distendus. Cormoran, cou tendu, cri muet. Il y a beaucoup de moments que j’ai oubliĂ©s, mais celui-ci, plus de vingt-cinq ans plus tard, me reste trĂšs bien en mĂ©moire, de mĂȘme que le suivant
 04/09/1995, pointe de Guilben. Je suis venu Ă  pied par la cĂŽte, et non en vĂ©lo, le vent s’est levĂ© Ă  mon arrivĂ©e, et la pluie Ă  l’horizon ! Cela m’a procurĂ© un bonheur fou confinant Ă  l’ivresse, et j’ai Ă©crit d’un jet le poĂšme suivant conservĂ© dans D’un hiver Ă  un autre Vent vent vent bourrasque d’écume embruns particules sel et roc varech et aiguilles branches et coquilles mousses Ă  la mer rivage emmĂȘlĂ© vent vent vent mer et ciel mĂȘlĂ©s le grain et l’embrun barques retournĂ©es voyez dans sa barque l’humain chavirĂ© voyez-le danser ! vent vent vent vent oĂč va le vent oĂč va la tempĂȘte ? nord au sud est en ouest tourbillons tourbillonnant d’eau et de parfums odeurs ocĂ©anes miel continental rĂ©sine et marĂ©e monte la marĂ©e autour de Guilben rochers submergĂ©s oĂč va la marĂ©e ? vent vent vent vent tourbillonnant tourbillons cosmiques vent gris vent vert vent d’ardoise de pins et de plumes vent dans le plumage de l’oiseau totem vent dans le vert vide de son Ɠil vent vent vent vole vers le large vent vent vent file Ă  l’horizon Ă  ce point limite oĂč le soleil blanc porte la mer blanche Ă  incandescence vent vent vent vent incandescent venu du soleil pour y retourner vent vent vent vent nĂ© du soleil balaie tout obstacle pour y retourner. 05/09/1995. Pointe de Guilben. Je n’ai pas la prĂ©tention de connaĂźtre la Bretagne, ni aucun autre lieu, ni mĂȘme cette pointe de Guilben oĂč je reviens chaque fois, oĂč j’ai Ă©crit et vĂ©cu quelques poĂšmes plus ou moins mĂ©morables et dont j’apprĂ©cie particuliĂšrement la beautĂ© sĂ©vĂšre, la douceur inattendue en Ă©tĂ©, les brusques dĂ©crochages de tonalité  Par moments, il me semble cependant que je me rapproche du lieu oĂč je suis de passage. Je le sais parce que je vois mieux, je vois en dĂ©tail et avec prĂ©cision les coquillages, les algues, les rochers, les flaques, et que je sens que tout cela m’intĂ©resse au plus haut point. J’ai de Guilben une impression gĂ©nĂ©rale en fait, des sĂ©ries d’impressions, mais depuis le coup de vent d’hier il me semble que j’en ai une connaissance beaucoup plus intime, qu’il fait maintenant partie de moi, que je ne l’oublierai pas impression vĂ©rifiĂ©e par la suite. 06/09/1995, nord du Port de Paimpol. Ce matin j’ai enregistrĂ© les cris des goĂ©lands avec un petit dictaphone. Le vent soufflait si fort que je ne m’attendais Ă  rien de correct. Quelle n’est pas ma surprise, cependant, lorsqu’à l’écoute de l’enregistrement je dĂ©couvre que le son d’un accordĂ©on s’est mĂȘlĂ© aux cris des oiseaux, sans que je l’aie entendu sur le moment ! Qui donc a jouĂ© de la musique sur la plage sans que je m’en aperçoive ? Des annĂ©es aprĂšs, cette mention du dictaphone et de l’accordĂ©on, devenus depuis mes familiers, m’étonne tout autant. Au mĂȘme moment, deux grands cormorans passent au ras de l’eau, dont je suis le vol aux jumelles pour vĂ©rifier qu’ils ne transportent avec eux aucun instrument de musique. Ce mystĂšre musical trouve sa rĂ©solution dans le fait que j’avais captĂ© par erreur Radio France Bretagne
 07/09/1995, vingt-quatre heures de Guilben Ă  l’Arcouest. Souvent je tentais d’écrire des poĂšmes, presque toujours mauvais. Je me cherchais. Cela donnait des choses comme ça Volcan entrouvert au-dessus des flots chrisme rouge et vert du levant Lame verticale plantĂ©e dans l’eau blanche blessure incendie Ă  midi Frisonne l’eau grise brumes et pĂąleurs se lĂšve la bise lueurs des cinq heures Figure Ă©carlate dans l’eau lacĂ©rĂ©e d’un diamant de sang prisme du couchant DerniĂšre Ă©corchure se rouvre et se ferme la lune Ă  l’aurore rouvre son volcan Volcan entrouvert au-dessus des flots
 08/09/1995, port de Paimpol une nuit de tempĂȘte. J’ai peur, j’ai eu vraiment trĂšs peur lorsque la vague est venue fouetter la jetĂ©e oĂč je me suis aventurĂ© cette nuit. Je ne l’ai pas vu venir et j’ai failli tomber Ă  l’eau. J’ai voulu voir la tempĂȘte de prĂšs, je suis venu jusqu’au phare pour cela mais j’en suis effrayĂ©. Gerbes d’écume dans l’eau noire, canot renversĂ©, planches brisĂ©es, cliquetis des haubans. Des ombres partout comme des mains coupĂ©es. Une trouĂ©e dans le ciel c’est la pleine lune qui regarde aussi le spectacle, entre deux toiles arrachĂ©es
 10/09/95, port de Paimpol. Ce matin au port, les noyĂ©s tapent leur cuillĂšre aux rebords des bols. Les cordes se tendent, les cordes se nouent aux gorges. Les os, tapant les haubans, appellent la chair. 11/09/1995, port de Paimpol. La grande marĂ©e de septembre est passĂ©e. Je suis allĂ© hier fouiller les herbiers avec une Ă©puisette. Je n’ai rien pĂȘchĂ©, mais profitĂ© du spectacle de ces gens en cirĂ©s jaunes dispersĂ©s sur la grĂšve de vase dĂ©couverte Ă  perte de vue, certains mĂȘme enfoncĂ©s loin dans l’eau, qui sont restĂ©s des heures durant Ă  gratter le sol, Ă  Ă©carter les algues, pour ramener coquillages et crabes. Ce matin le port est calme. Un cormoran glisse sur l’eau puis va se sĂ©cher, ailes Ă©cartĂ©es, cou tendu. Un poisson saute. Soleil et vent lĂ©ger. Pointe de Guilben. L’autre jour un vieux pĂȘcheur au visage de vieux rivage tout creusĂ© de rides de marĂ©e, avec des yeux couleur d’algue, des mains rĂąpeuses de roche grise et, en guise de cirĂ©, un vieux manteau de pluie, a laissĂ© sa barque sur la plage et s’est mis Ă  marcher sur l’estran en direction du large. Comme c’était jour de marĂ©e on a cru qu’il partait ramasser des coquillages, mais une fois arrivĂ© dans l’eau il a continuĂ© Ă  avancer. Il a disparu au bout du paysage dans une gerbe de lumiĂšre. Personne ne l’a revu. 12/09/1995, pointe de l’Arcouest. Les coquillages comme des cigales creusent et grattent continument le rocher. Les bigorneaux se dĂ©placent imperceptiblement dans l’eau des flaques, tournent sur eux-mĂȘmes, effectuent une sorte de petite danse malhabile. Certains sont superbes, avec des coquilles en spirales de couleur rose et ocre mauve, un bleu gris et brillant comme le mica, un peu de vert d’algue
 Quand on les sort de l’eau leurs couleurs ternissent. La roche est couverte de patelles et de berniques. Quand je dĂ©tache le coquillage, il projette un petit jet d’eau salĂ©e et se dĂ©pĂȘche de fermer l’entrĂ©e de sa coquille avec sa membrane en faisant des bulles. Le blanc nacrĂ© des huĂźtres vidĂ©es par les mouettes et qui parsĂšment les rochers brille sous l’eau ; de petits coquillages parfois s’y rĂ©fugient. On entend encore ce grattement sourd, comme d’une taupe creusant sa galerie. Les anĂ©mones tendent leurs filaments vers la surface. Poisson fugace. Coquillage rayĂ©, bagnard marin. Crevettes transparentes. Le petit volcan de la patelle soudain se soulĂšve, se dĂ©place – si je tente de l’attraper, elle s’immobilise et s’accroche aussitĂŽt Ă  la paroi. 13/09/1995. Ce qui rend fou Ă  BrĂ©hat. Assis seul Ă  une table de l’auberge du Bourg, sur l’üle de BrĂ©hat, je savoure ce parfum sucrĂ© de vacances. Le temps est superbe, la mer d’un bleu rassurant, les rochers ocre rose semblent presque rouges. Impression de revenir de trĂšs loin ou d’ĂȘtre trĂšs loin, comme en enfance. Je mange seul dans cette auberge remplie de touristes. Les serveurs chassent les chats mais ont pour les passants de grands sourires commerçants. PrĂšs de moi on parle en allemand. Je visite la chapelle St ExpĂ©dit. ExpĂ©dit de MĂ©litĂšne est un saint spĂ©cialisĂ© dans les causes urgentes, dont le culte s’est rĂ©pandu d’abord en Allemagne et beaucoup diffusĂ© Ă  La RĂ©union et en AmĂ©rique du Sud ; il est, par exemple, le saint patron de la Police militaire de l’État de SĂŁo Paulo
 ce qui n’inspire guĂšre confiance. Je me demande pourquoi il est ainsi cĂ©lĂ©brĂ© Ă  BrĂ©hat
 Un oiseau ne cesse de se heurter aux vitraux. On entend le battement de ses ailes qui se mĂȘle au bourdonnement continu des insectes. Quelques cierges brĂ»lent devant la statue du jeune saint romain au bras coupĂ©. Puis je m’en vais par le sentier de la cĂŽte, grisĂ© par l’odeur des figuiers
 Parfois le cƓur bat plus amplement les poumons se font plus profonds dans un tremblement le vent s’apaise un instant devant le grand restaurant on chasse les chats avec un faux sourire accueillant vieux rĂȘve en vacance le Temps pendant ce temps-lĂ  s’étire et s’endort entre les cris des touristes les serveuses dansent man spricht deutsch français english on crie on se presse et l’oiseau affolĂ© cogne contre le vitrail opaque cherchant la faille du verre on prie on se tait et le jeune saint romain montre de son bras cassĂ© Ă  l’oiseau discrĂštement le verre entrouvert on rit on marche on respire et ce qui rend fou alors c’est parfois miraculeux l’odeur des figuiers qui tremble au long du sentier filant Ă  la mer. 14/09/1995, l’Indien de BrĂ©hat. Il y a au nord de l’üle de grands rochers roses dont les formes peuvent facilement Ă©voquer des silhouettes animales ou humaines comme dans le bois de PaĂŻolive ou sur les crĂȘtes du Nivolet, d’ailleurs. Je passe plusieurs heures embusquĂ© au sommet de l’un de ces rochers, Ă  regarder trente mĂštres plus bas les cormorans pĂȘcher. Le vent me procure une exaltation croissante qui confine Ă  l’ivresse. Juste en face de moi, une tĂȘte d’indien couronnĂ©e de corbeaux apparait
 J’écris d’un trait sur le carnet le poĂšme qui suit, que j’ai intĂ©grĂ© ensuite au livre D’un hiver Ă  un autre, dont je me souviens qu’il avait plu Ă  Jean Vasca et aussi que je l’avais lu en public, plus tard, Ă  Saint-Brieuc
 Indien au front rouge Fendu d’ocĂ©an La blessure de ton crĂąne Saigne encore Indien au front bleu RongĂ© de soleil Le cri noir de tes corbeaux Vibre encore Indien au front large Comme l’horizon FichĂ©e dans ton Ɠil la flĂšche Horizon Indien de granit D’ombre et de lumiĂšre BrisĂ©es dans tes creux les braises De lumiĂšre Indien de calcaire D’algue et de marĂ©e Poli dans tes mains le vert Des marĂ©es Indien de tempĂȘte D’écume et de vent Blanchi dans tes bras le blanc De l’écume Indien du dĂ©sordre Indien du dĂ©sir DressĂ©es tes dix-mille verges Vers le ciel Indien de l’essor Indien de l’espace LĂąchĂ©es les mouettes astrales De ton corps Indien millĂ©naire Indien planĂ©taire Tous signes tendus ainsi Tu dĂ©signes La voie du dĂ©sir La vie du dĂ©sordre La sente Ă©phĂ©mĂšre La voie du rĂ©el Indien du rĂ©el Indien Ă©ternel Indien front blessĂ© Toi l’indien de pierre. Le poĂšme achevĂ©, je trace avec une exaltation candide une sorte de pictogramme naxi en forme de cormoran dont je ferai pendant quelques annĂ©es ma signature. C’était trĂšs naĂŻf, mais je ressens aprĂšs coup pour ce jeune homme perchĂ© sur son rocher qui s’invente une signature en forme de cormoran la plus grande sympathie. Pages 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16
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  • ce soir je bois je pense a toi